Le développement durable – ou responsable –, ne doit pas chercher dans ce qui précède des raisons de désarmer, bien au contraire. Que ce soit pour différer la fin d'une manière de vivre ou en préparer une nouvelle, il a toute son utilité. Les ressources de la planète et la possibilité de continuer à en vivre étant irrévocablement appelées à s'épuiser un jour, le problème posé à l'homme se ramène en effet tout bonnement à inventer et mettre en œuvre les outils d'une prolongation aussi durable que possible de l'existence de l'espèce humaine
Sans prétention scientifique ni le moindre ésotérisme, la pyramidologie sociale se fonde sur des faits et des chiffres accessibles à tous. Pragmatique, elle s'offre à ceux qui acceptent la remise en cause de leurs convictions et de leurs sentiments, pour leur rappeler ou les aider à prendre conscience des réalités de leur condition et des limites qu'elle impose à leurs utopies, notamment sociales.
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AVANT-PROPOS
Extrait d'un article pouvant être lu en entier à l'adresse ci-après https://pyramidologiesociale.blogspot.com/2020/04/introduction-la-pyramidologie-sociale.html
Que la société des hommes soit hiérarchisée et tissée d’interdépendances n’implique, de la part de ceux qui se rendent à cette évidence, ni résignation ni le moindre abandon de la plus petite parcelle de ce qui les distingue du reste du vivant connu, qui est leur volonté et leur capacité de toujours améliorer leur condition.
Et reconnaître la pyramide comme représentative de cette société, n’est pas davantage s’égarer dans l’ésotérisme.
C’est, pragmatiquement, une façon de discerner par l’observation de la réalité, sans davantage de prétentions scientifiques que métaphysiques, l’origine profonde des maux d’ordre sociétal dont souffre l’humanité, et se donner ainsi la possibilité de les combattre en connaissance de cause. Car au lieu de cela, plus l’homme s’avance sur le chemin du progrès, moins la vanité qu'il en tire tolère cette vision pyramidale de sa condition, allant jusqu’à la refuser sous prétexte d’incompatibilité, tant avec sa dignité qu’avec son idéal de justice sociale. Or la cause majeure des difficultés qu’il éprouve dans la poursuite d’un tel idéal ne résulte-t-elle pas précisément de son aveuglement, puisqu’il se prive ce faisant d’un moyen essentiel de connaître, au-delà de ses croyances religieuses, politiques, économiques et sociales érigées en dogmes, les lois et mécanismes fondamentaux qui régissent ses rapports avec ses semblables et leur environnement commun ? Qui peut prétendre avoir jamais vaincu un ennemi qu’il n’a pas identifié ?
Ce sont ces mécanismes qu'étudie la pyramidologie sociale, dans leur vérité parfois cruelle mais fondamentale, mettant en évidence la relation incontournable qui existe entre la structure de la société humaine, le nombre de ceux qui la composent, et l’accroissement constant de leurs richesses communes ; matérielles ou immatérielles ; naturelles comme résultant de l’ensemble des activités et autres apports de ses membres, quel que soit le groupe considéré, jusqu'au niveau mondial.

samedi 26 octobre 2013
Développement : durable, ou responsable ?
Le développement durable – ou responsable –, ne doit pas chercher dans ce qui précède des raisons de désarmer, bien au contraire. Que ce soit pour différer la fin d'une manière de vivre ou en préparer une nouvelle, il a toute son utilité. Les ressources de la planète et la possibilité de continuer à en vivre étant irrévocablement appelées à s'épuiser un jour, le problème posé à l'homme se ramène en effet tout bonnement à inventer et mettre en œuvre les outils d'une prolongation aussi durable que possible de l'existence de l'espèce humaine