Sans prétention scientifique ni le moindre ésotérisme, la pyramidologie sociale se fonde sur des faits et des chiffres accessibles à tous. Pragmatique, elle s'offre à ceux qui acceptent la remise en cause de leurs convictions et de leurs sentiments, pour leur rappeler ou les aider à prendre conscience des réalités de leur condition et des limites qu'elle impose à leurs utopies, notamment sociales.
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celui-ci est ouvert à la suite de l'avant-propos.
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AVANT-PROPOS
Extrait d'un article pouvant être lu en entier à l'adresse ci-après https://pyramidologiesociale.blogspot.com/2020/04/introduction-la-pyramidologie-sociale.html
Que la société des hommes soit hiérarchisée et tissée d’interdépendances n’implique, de la part de ceux qui se rendent à cette évidence, ni résignation ni le moindre abandon de la plus petite parcelle de ce qui les distingue du reste du vivant connu, qui est leur volonté et leur capacité de toujours améliorer leur condition.
Et reconnaître la pyramide comme représentative de cette société, n’est pas davantage s’égarer dans l’ésotérisme.
C’est, pragmatiquement, une façon de discerner par l’observation de la réalité, sans davantage de prétentions scientifiques que métaphysiques, l’origine profonde des maux d’ordre sociétal dont souffre l’humanité, et se donner ainsi la possibilité de les combattre en connaissance de cause. Car au lieu de cela, plus l’homme s’avance sur le chemin du progrès, moins la vanité qu'il en tire tolère cette vision pyramidale de sa condition, allant jusqu’à la refuser sous prétexte d’incompatibilité, tant avec sa dignité qu’avec son idéal de justice sociale. Or la cause majeure des difficultés qu’il éprouve dans la poursuite d’un tel idéal ne résulte-t-elle pas précisément de son aveuglement, puisqu’il se prive ce faisant d’un moyen essentiel de connaître, au-delà de ses croyances religieuses, politiques, économiques et sociales érigées en dogmes, les lois et mécanismes fondamentaux qui régissent ses rapports avec ses semblables et leur environnement commun ? Qui peut prétendre avoir jamais vaincu un ennemi qu’il n’a pas identifié ?
Ce sont ces mécanismes qu'étudie la pyramidologie sociale, dans leur vérité parfois cruelle mais fondamentale, mettant en évidence la relation incontournable qui existe entre la structure de la société humaine, le nombre de ceux qui la composent, et l’accroissement constant de leurs richesses communes ; matérielles ou immatérielles ; naturelles comme résultant de l’ensemble des activités et autres apports de ses membres, quel que soit le groupe considéré, jusqu'au niveau mondial.

jeudi 18 décembre 2014
Quelques idées pour un conte de Noël
mardi 25 novembre 2014
Pauvreté, inégalités et privilèges
Sans compter que ce serait probablement le meilleur moyen de retarder l'instauration d'un monde peuplé d'êtres humains tous identiquement pauvres en tout. « … encore un peu de temps et tout s’éclaircira, nous verrons enfin apparaître le miracle d’une société animale, une parfaite et définitive fourmilière … » Paul Valéry.
vendredi 10 octobre 2014
Croissance ou décroissance ? - L'écologie dénataliste, seule voie d'un développement viable
dimanche 14 septembre 2014
Recadrage de l'objet du blog
Plusieurs commentaires donnant à penser que le nombre d'articles publiés sur ce blog peut en faire perdre de vue l'objet, ce qui suit voudrait y pallier. Une lecture incomplète pouvant conduire à l'incompréhension de certains propos, en dépit de la présence de schémas, pourtant insérés en partant du principe que mieux vaut un petit dessin qu'un long discours, c'est donc à leur redondance près que sont proposées ci-après quelques précisions quant au rapport existant, selon l'auteur, entre démographie et condition sociale.
Bien d'autres phénomènes peuvent être schématisés par la pyramide sans que cela entraîne les réactions que suscite son application à la répartition des hommes selon leur position sociale. Il suffit d'en citer quelques exemples : la pyramide des âges (qui n'a d'ailleurs rien d'une pyramide et tout du rhomboïde), celle(s) du (ou des) savoir(s), celles des compétences, celles des performances, ... pour s'en rendre compte et ne pas s'arrêter aux considérations d'ordre idéologique qui font contester, ou pour le moins dévier de sa signification, l'instrument modestement représentatif qu'est la pyramide sociale.
- À volume (ou population totale dans la pyramide sociale) constant, lorsque la base de la pyramide (siège de la pauvreté dans la pyramide sociale) varie en importance, sa hauteur (écart entre pauvreté et richesse dans la pyramide sociale) varie d'autant, et réciproquement. De même, à critères de segmentation constants, les populations observées (pauvres, classes moyennes et riches par exemple) conservent grosso modo leurs proportions, quel que soit son volume (population totale).
mercredi 3 septembre 2014
Pour une écologie dénataliste - Contre une démographie sauvage et la pauvreté
lundi 25 août 2014
La pyramide sociale inversée ou le triomphe de la pauvreté
mardi 12 août 2014
Pauvreté et transition démographique
lundi 4 août 2014
De l'aggravation de la pauvreté par la démographie
De l'aggravation de la pauvreté par la démographie
Tout d'abord, la pauvreté est-elle une fatalité ?
À critères de segmentation constants, il en résulte le développement en nombre de toutes lescatégories sociales, mais selon un mécanisme qu'exprimelafigure 2. Et s'il est possible aux individus qui bénéficient des effets d'un progrès matériel évident de se livrer avec un certain recul à une telle observation, tout se passe dans l'opacité d'une misère aggravée par une démographie galopante pour les autres. L'élite, constituée des nantis, faisant cette opinion qui dénonce la pauvreté, il est plus que temps d'y penser autrement, à l'époque où la population du globe a largement franchi le cap des 7 milliards. Nul doute que ce soit d'autant plus indiqué que cette dénonciation repose sur des critères d'évaluation contestables et contestés, ignorant ou allant jusqu'à nier le rapport existant entre l'accroissement du nombre d'êtres humains et leurmisère.