dimanche 17 mars 2024

Invitation

 

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Sauf accès direct à un article, par son adresse obtenue par ailleurs. 

Pour une meilleure compréhension de la raison d’être de ce blog et de son contenu, il est recommandé de procéder à sa visite en commençant par la lecture − dans l’ordre indiqué − des quelques articles auxquels renvoient les liens ci-après.

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Pourquoi la pyramide sociale ?

https://pyramidologiesociale.blogspot.com/2023/07/de-la-tour-de-babel-la-pyramide-sociale.html


La Pyramidologie sociale, qu’est-ce que c’est ?

https://pyramidologiesociale.blogspot.com/2022/01/la-pyramidologie-sociale-quest-ce-que.html


De la relation entre condition humaine, démographie et économie.

https://pyramidologiesociale.blogspot.com/2020/01/du-binome-economie-population.html


Des conséquences suicidaires de l’aveuglement de l’humanité, quant à sa propre condition.

https://pyramidologiesociale.blogspot.com/2020/10/le-syndrome-de-lautruche.html


Pyramidologie sociale : Questions et réponses

https://pyramidologiesociale.blogspot.com/2023/09/quiz-pyramidologie-sociale.html

mardi 27 février 2024

Démographie et démocratie

Article révisé le 27/02/2024

Si parmi les multiples pièges qui menacent la démocratie, le dogmatisme, le sectarisme, le mensonge, la cupidité, la corruption, l'intolérance, etc. sont sans cesse évoqués, avec autant d'hypocrisie que de superfluité, il en est un dont les hommes dans leur grande majorité ne semblent pas avoir conscience. Il est pourtant devenu le plus redoutable, après s'être installé au su et à la vue de tous durant des siècles, sans apparemment éveiller la méfiance de qui que ce soit. Il s'agit de la surpopulation ; ce qui peut expliquer que les ennemis de la démocratie se multiplient et le soient en premier lieu au nom de la conquête ou de la défense de leur espace vital.

Après le "Croissez et multipliez" biblique des prelières religions monothéistes, n'est-elle pas l'arme fondamentale des extrémismes les plus enracinés, dont ceux qui règnent au Moyen-Orient ne sont hélas qu'un exemple trop parlant : «Comme aimait à dire Yasser Arafat : La meilleure arme de l'Organisation de libération de la Palestine, c'est l'utérus des Palestiniennes [Cf. Boumediene, Kadhafi, Erdogan, … proclamant à la face du monde que l'Islam ferait sa conquête du monde par le ventre de ses femmes] » Ou, pour ne pas être accusé de sionisme : « Les haredims sont encore minoritaires en Israël, mais ils s'acharnent à changer cet état de fait. Et leur tactique est simple : ils procréent. Les familles ultra-orthodoxes comptent en moyenne près de sept enfants ; les fratries de dix ou plus ne sont pas rares… un quotidien de Jérusalem cite un haredim qui se vante d'avoir 450 descendants.» (COMPTE À REBOURS - Alan Weisman - Flammarion - Déc 2013)

Quels que soient notre souci du bien commun et notre soif de partage et de justice, nous ne pouvons ignorer qu'en dépit des progrès qu'elle a accomplis depuis, la République a été inventée à une époque ou la population humaine, dispersée sur la planète, n'était au plus que de quelques centaines de millions d'individus de toutes conditions.

Or, même s'il suffit de deux hommes sur un même territoire pour qu'y règne l'antagonisme, voire la discorde ou pire, leur nombre a crû dans une telle mesure qu'il engendre dorénavant désordres, peur et repli sur soi-même. Par la disparité des opinions qui s'y expriment, les conflits d'intérêts qui s'y manifestent ; par la transformation en cacophonie du moindre débat ; par une ingouvernabilité conduisant des leaders débordés à employer tôt ou tard la force au détriment de la raison ; par l'aggravation qui en découle du sort des plus démunis ; par le quotient de la part des richesses susceptible de revenir à chacun – à commencer par les libertés, tant individuelles que collectives –, le surnombre réduit à néant toute volonté démocratique, sauf à viser un utopique égalitarisme dans la pauvreté généralisée.

« Chacun a le souvenir d'un monde qui était meilleur. Moins peuplé. Plus agréable. Où l'on se sentait plus libre. » (Alan Weisman). Tous les pouvoirs le savent et pourtant tous les pouvoirs ont le culte du nombre. Nulle religion ni secte qui ne cherche à multiplier celui de ses fidèles, nul pouvoir politique ne veuille accrôitre le nombre de ses partisans, nulle institution ou association qui ne s'efforcent de rallier un maximum de membres ; nulle commune, région ou état qui ne fonde sa puissance, son avenir – et accessoirement le bonheur de sa population – sur l'importance de celle-ci.

Comme elle est le moyen infaillible de réduire le nombre de pauvres, par simple effet de proportionsla dénatalité apparaît dès lors comme la seule mesure propre au rétablissement de l'équilibre démographique indispensable à la restauration et à la pérennité de cette démocratie porteuse de plus de justice, de responsabilité et de solidarité ; souhait de tous les vrais républicains.

mercredi 7 février 2024

Quand le bon sens néerlandais s'exprime

Traduction du 07/02/2024

Pour l'original, voir

https://mail.google.com/mail/u/0/?tab=rm&ogbl#inbox/WhctKKZWdbXpbGgSZgLxPtJRhlrwqrqxqNhjgdnhlvnMhcqHBKPPNjtktTgZhdJvxSNZhVg


Newsletter de la fondation OverBevolking du Club van Tien Miljoen

Édition supplémentaire (suite) Pour un affichage et une navigation optimales, il est préférable d'ouvrir cette newsletter dans un navigateur.

Vue unilatérale des tâches de la commission d'État pour l'évolution démographique à l'horizon 2050

Dans le rapport sur la croissance modérée , la Commission d'État sur l'évolution démographique 2050 conseille au gouvernement de réduire la croissance démographique annuelle aux Pays-Bas entre 40 000 et 60 000 personnes. Dans notre pays, « l’accroissement naturel » (nombre de naissances moins nombre de décès) est négatif, la croissance démographique est donc entièrement imputable au solde migratoire (nombre de personnes qui immigrent moins le nombre de personnes qui émigrent). Le comité estime que la croissance démographique actuelle due à l’immigration ne peut pas être soutenue pour diverses raisons (notamment le manque de logements et d’équipements tels que les soins de santé et l’éducation), mais n’opte pas pour une croissance ou un déclin nul. Cela entraînerait une pénurie de personnel et un ralentissement économique.
 
15 janvier 2024 : le président Richard van Zwol du comité d'État Développement démographique 2050 présente le rapport sur la croissance modérée au gouvernement en présence de la presse.

Prospérité ou bien-être ?

Dans le décret officiel d'établissement , la commission a été chargée d'émettre des avis « dans le contexte d'une approche globale de prospérité ». Il semble que la commission n'était pas consciente du double sens d'une « approche sociale large ». D'une part, ce terme peut être interprété comme « la prospérité pour le plus grand nombre possible », d'autre part, le terme peut également signifier que le concept de prospérité doit être interprété « au sens large » et va au-delà de la prospérité (matérielle). en raison de la croissance économique. . Le sens se déplace alors vers « bien-être ».
 
« Le bien-être est élevé lorsque les gens sont satisfaits de leur vie et se sentent en bonne santé. »
Selon le Bureau central des statistiques (CBS). Leur satisfaction dépend de la mesure dans laquelle leurs besoins peuvent être satisfaits avec les ressources disponibles. Statistics Nederlands appelle ce degré de satisfaction la prospérité. Statistics Pays-Bas écrit également que l'augmentation de la valeur du produit national brut (PIB ou PIB : produit intérieur brut) entraîne une croissance en volume. Cette croissance « est utilisée comme une indication de l’augmentation réelle de la prospérité matérielle, ou de la croissance économique ».
Pour atteindre une croissance en volume, il faut plus de clients pour les produits ou services, ou les gens doivent acheter plus de produits ou de services. Avec de plus en plus de personnes, le nombre de clients augmente, la consommation augmente, la prospérité augmente et de plus en plus de personnes sont de plus en plus satisfaites.

Prospérité matérielle
 
La pensée ci-dessus est profondément enracinée dans notre société. Très profond selon l'historienne Naomi Woltring . Elle écrit dans sa thèse sur l’introduction des idées néolibérales dans notre État-providence : « Les réformes… ont été menées par de hauts fonctionnaires, des hommes politiques et des scientifiques qui appartenaient à une communauté d’hommes principalement formés à l’économie ou au droit économique et partageant les hypothèses néolibérales. » « À partir de la fin des années 1970, de plus en plus d’économistes sont venus travailler pour le gouvernement et, au cours de leur formation, ils ont souvent été initiés aux conceptions économiques néolibérales », affirme également le professeur Visseren-Hamakers . En tant que jeune, vous avez appris en économie que la croissance est le moyen d’accroître notre prospérité. Cette réflexion est ancrée dans l’ensemble de notre société. Avec les enseignants, les médias, les financiers et le monde des affaires. Cela vaut également pour les (hauts) fonctionnaires, les hommes politiques et les scientifiques du gouvernement.

Limites à la croissance

Mais la croissance éternelle qui rendrait les gens de plus en plus satisfaits ne s’avère finalement pas si éternelle. Il y a tellement de monde aujourd’hui que la qualité de la vie sur terre s’en trouve affectée. Il n’est plus possible d’accroître la prospérité et le bien-être d’un nombre croissant de personnes. Visseren-Hamakers affirme que nous devons « nous débarrasser de l’idée selon laquelle la croissance économique mène ». « Nous devons adapter notre système économique pour qu’il serve à nouveau notre bien-être, et non l’inverse. Comment est-il possible que nous considérions la croissance économique plus importante que la santé des Néerlandais ? … Depuis des décennies, nous nous concentrons sur la croissance, la croissance, la croissance. Le moment est venu où nous réalisons que les choses doivent changer. »

Valeur réelle

" Une faible croissance est-elle si malsaine ?", s'interroge le présentateur de radio et de télévision Rens de Jong . Il poursuit : « Si l’on en croit les politiques (et aussi les médias), une faible croissance, voire une contraction du produit national brut (PIB), c’est assez mauvais. Et les banques centrales semblent également s’être donné pour mission de ne plus jamais connaître de récession. Du moins si l’on regarde leurs mesures d’incitation, alors que tant de gens travaillent. L’économie ne semble plus pouvoir décliner ! … En bref : le PIB mesure beaucoup, sauf les choses qui ont vraiment de la valeur. «
 
Dans une société qui se concentre sur un environnement vivable, un air pur et la conservation de la nature comme conditions de bien-être, au lieu de la croissance économique et de la prospérité (matérielle), une grande partie du travail de production devra céder la place à des emplois dans les soins de santé, l'éducation et la sécurité nationale. . Des entreprises qui ne peuvent exister que grâce à des travailleurs extérieurs sous-payés disparaîtront. Nous n’avons plus besoin d’attirer les étrangers avec des avantages fiscaux attractifs. Les universités n’ont plus à préparer les étudiants étrangers à des emplois dans notre industrie. Avec un solde migratoire négatif, la population diminue. Davantage de logements seront disponibles, les routes deviendront plus calmes, l'air deviendra plus pur et il y aura plus de place pour la restauration de la nature et la gestion de l'eau.

[merci à Esther Portégies]

Plus de gens avec moins de monde

Nous avons illustré le choix entre plus de bien-être et moins de prospérité dans un court métrage intitulé Plus de gens avec moins de gens, un portrait de Fons Jena, auteur du livre Nous sommes trop nombreux . Hautement recommandé!

mercredi 31 janvier 2024

Désmicardiser, ou instaurer un revenu universel ?

 Sans prétention scientifique, les schémas qui suivent ainsi que les données factuelles et chiffrées étayant le raisonnement qu’ils illustrent, sont empruntés en toute simplicité à des disciplines scientifiquement établies.

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Pour autant que désmicardiser consiste à faire en sorte qu’aucun revenu ne soit inférieur au SMIC (salaire minimum interprofessionnel de croissance), la structure sociale de l’humanité comme de toute nation l’interdit, en raison de l’incessante croissance démographique planétaire avec ses retombées inévitables sur tous les pays du monde ; la misère se prêtant partout et sans retenue au jeu des vases communicants, depuis le niveau zér0 de la richesse qu’est la pauvreté extrême

Quelle qu’en soit la nature, la répartition des richesses de la société est en effet indissociable de l’augmentation de la population, en cela qu’elle a pour première conséquence d’éloigner sans cesse la base de la pyramide sociale de son sommet et de creuser d’autant les inégalités sociales dont cet écart est l’expression globale, dans son intemporelle relativité

C’est ainsi que sur 100 Terriens qui viennent s’ajouter à la population mondiale, 14 vont structurellement rejoindre les “riches” occupants du sommet de la pyramide, les 86 restant allant grossir les rangs des “pauvres” qui en peuplent la base, jusqu’à l’inexpugnable niveau zér0 de la richesse

Il est ainsi d’autant plus illusoire qu’éphémère de vouloir procéder à une désmicardisation de la société, que la répartition de ses membres est incessamment réajustée dans leur interdépendance, hiérarchisée par les hasards de la naissance de chacun et son héritage génétique, social et culturel, quels que soient les aléas de son existence par la suite

La seule solution qui offrirait aux plus pauvres des êtres humains la garantie d’un SMIC , consisterait à en faire un RUMI – Revenu universel minimum et inconditionnel – les isolant du niveau zér0 de la richesse collective, dans des conditions qu’il sera toutefois nécessaire d’ajuster avec :

1° des idéologies politiques ayant toutes fait la preuve de leur impuissance à solutionner le problème fondamental que pose la pauvreté profonde.

2° une démographie mondiale dont la dogmatique autant qu’incessante croissance, fait de toute volonté réaliste d’améliorer le sort des plus pauvres, un tonneau des Danaïdes.

3° De la richesse, niveau de vie et plus particulièrement le pouvoir d’achat de la population de chaque pays, bien que les pays les plus riches puissent contribuer aux efforts des plus pauvres, avec pour objectif de contribuer à l’apaisement des relations entre tous.










À propos du schémas ci-dessus :

– Le point de départ de la flèche de droite, marque le niveau de la richesse collective se substituant à son niveau zér0, auquel sont élevés tous les pauvres profonds, par injection du revenu universel à la base de la pyramide sociale. En d’autres termes, davantage que “soulager” les plus pauvres par l’assistanat, ils sont structurellement “isolés” de l’irrémédiable niveau zér0 de la richesse.

– La flèche de gauche quant à elle, indique comment l’impôt collectif finance structurellement le revenu universel ; ce que perçoivent à ce titre tous les “riches” leur étant repris par le prélèvement de l’impôt sur le revenu, payé par tous les citoyens proportionnellement au revenu de chacun.

mercredi 27 décembre 2023

Plus sa population augmente, plus la société s’enrichit et … plus elle crée de pauvres


Article révisé le 27/12/2023

Sans prétention scientifique, les schémas qui suivent ainsi que les données factuelles et chiffrées étayant le raisonnement qu’ils illustrent, sont empruntés en toute simplicité à des disciplines scientifiquement établies.


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« L’être humain étant avant toute autre activité ou toute autre opinion un consommateur » (Gaston. Bouthoul, in Traité de sociologie, tome II, p.180, §3), plus sa population augmente plus sa société s’enrichit. Et dans un apparent paradoxe, plus la société s’enrichit plus elle produit de pauvres ; incontournable, parce que structurel. Telle est la conséquence du développement incessant, depuis que l'homme existe, de l'indissociable binôme économie/population, celle-conditionnant celle-là et non l'inverse.

Encouragés par tous ceux qui se font leurs défenseurs pour des raisons diverses, nombreux sont les pauvres qui se préoccupent davantage de l’enrichissement d’autrui que de leur propre sort. Pourtant, toujours pour des raisons d'ordre structurel découlant du caractère pyramidal de la société humaine, l'effectif des pauvres croît plus rapidement que celui des riches. Sur 100 êtres humains qui voient le jour, 14 naissent au-dessus de la médiane de la richesse collective et 86 au-dessous. En d’autres termes, dans la relativité de la richesse et de la pauvreté, 14 êtres humains naissent riches et 86 naissent pauvres, et cette proportion perdurera quel que soient les aléas de l'existence des uns et des autres.

Dès lors que par convention le volume de la pyramide sociale représente l’importance de la population qui l’habite, le schéma ci-dessus illustre ce mécanisme inéluctable ; d’autant plus difficile à admettre que si la pauvreté a une limite qui est le niveau zéro de la richesse sous lequel nul ne peut descendre, la richesse n’en connaît pas d’autre que celle des ressources qu’offre la nature, et l'appétit de ceux qui la convoitent.



Répartition objective de la richesse de la société entre riches et pauvres. D'où :




Nota : Si le progrès scientifique et technique a considérablement amélioré les conditions de vie matérielle de l'humanité, richesse et pauvreté existent depuis toujours et continueront d’exister l'une par l'autre, dans une relativité intemporelle, déterminant une pyramide sociale dont le volume peut représenter par convention le peuplement. Sans riches point de pauvres et réciproquement. En conséquence, ce qui compte pour chacun, est son ressenti en tant qu'occupant d’une position dans cette pyramide sociale (à l’échelle de l'humanité ou de chacune des collectivités dont elle est faite), position devant tout aux hasards de sa naissance et à l’héritage génétique, social et culturel en découlant ; quels que soient les aléas de son existence par la suite et la compassion – spontanée ou contrainte – de ses semblables. Or, l'écart existant entre la base et le sommet de cette pyramide ne cesse pas d’augmenter, avec la population et une économie déterminée par ses besoins, vitaux et accessoires ; les inégalités sociales exprimées par cet écart ne cessant de se creuser d’autant. Et ces inégalités sont d’autant plus ressenties que si la richesse n'a pas d'autres limites que les ressources dont la tirent ceux qui la convoitent, la pauvreté à la sienne, qui est le niveau zéro de la richesse collective, coïncidant avec sa base, là où est condamnée – structurellement – à survivre la multitude des plus déshérités.



Quoi qu’il en soit, la compassion la plus grande et la plus sincère n’y peut rien changer, excepté dans ses effets à court terme, sans cesse irrémédiablement remis en cause par le mécanisme lui-même ; ce qui n’est pas sans décourager les meilleures intentions, dès lors en conflit avec la priorité naturelle de chacun, qui est d’améliorer et garantir sa propre condition et celle de sa descendance. Reste, au profit des plus démunis, le fait que l’homme n'oublie pas les devoirs que lui dicte, sinon la solidarité avec ses semblables, au moins la conscience de cette aide dont chacun peut avoir besoin un jour, nul n'étant à l'abri des vicissitudes de l'existence. C'est ainsi que la réduction des inégalités sociales finit par échoir à la société qui ne doit pas pour autant négliger que pour y parvenir elle doit veiller à son propre équilibre, notamment et avant toute autre mesure, en termes démographiques et environnementaux.