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dimanche 13 avril 2025

Pourquoi se trumpent-ils ?

Article publié le 13/04/2025


Parce que Donald Trump, Xi Jinping, Vladimir Poutine, et tant d’autres meneurs de foules ignorent, négligent, ou nient :

1° Que chacun des humains dont est faite notre société est, « avant toute autre considération, un consommateur » (Gaston Bouthoul).

2° Que cette société est victime, depuis sa naissance, d'une pauvreté qui s'est aggravée partout et continue de le faire, en raison de la prolifération des laissés-pour-compte d’une économie née de la satisfaction des besoins de sa population, tout en l’enrichissant jusqu’à la démesure, le partage de cette richesse étant lui-même structurellement inique.








Le caractère pyramidal de cette structure sociale, devant tout aux hasards de la naissance et à l'héritage génétique, social et culturel de chacun de ses membres, quels que soient les aléas de son existence par la suite, explique qu'avec le développement de son volume (représentatif d’une population qui n’a jamais cessé de la faire grossir et grandir), plus son sommet s'éloigne de sa base, plus l'écart se creuse entre richesse et pauvreté. Sachant que si cette richesse n’a pas d’autres limites que celles des ressources dont la tirent ceux qui la convoitent, la pauvreté en a une, qui en est le niveau Zér0, là où prolifère et survit la misère, dans l’indifférence de nations exclusivement préoccupées de leur enrichissement global, et de leur place en résultant, sur l'échiquier de l’économie mondiale.

Quant au sort de tous ceux qui sont laissés sur le bord du chemin dans ce combat obsessionnel, ce n’est pas leur problème.



Et pourtant, comme tant d’autres humains, « Les Américains [qui ont élu Donald Trump brandissant son colt, à la manière du cow-boy dont il est le surréaliste rappel, dans la confiscation d’un espace et de ses richesses, qui devaient en faire la première puissance mondiale] ne sont pas cyniques, ils sont optimistes. Et l’optimisme est souvent par lui-même un signe d’ingénuité [voire d’imbécilité ; dixit, R. Baden-Powell, Bernanos, Dostoïevski, Flaubert, Léautaud, Renan, etc.].

En authentique Américain, Trump [croit que la misère, la faim, la douleur, tout peut être combattu… qu’à tout mal il y a remède. Ils ne savent pas, bien qu’ils soient sous de nombreux aspects la nation la plus chrétienne du monde, que sans le mal le Christ ne saurait exister… ] » Curzio Malaparte in “La peau”.

Probablement par altruisme et générosité sous-jacente, ces mêmes Américains, et leurs compétiteurs comme leurs complices, se sentent dispensés de se soucier de la misère du monde, et autorisés à se livrer sans retenue à la conquête de ses richesses. Mais ils doivent tous savoir qu’une telle utopie ne cessera jamais, ne serait-ce qu'en raison du besoin de toujours améliorer sa condition, qui différencie l'homme des autres animaux, et que la guerre économique qu’ils se livrent, durera jusqu’à ce que l’humanité succombe, ensevelie sous une misère qu’ils auront laissé devenir la véritable première puissance mondiale.


Le syndrome de l’autruche

https://pyramidologiesociale.blogspot.com/2020/10/le-syndrome-de-lautruche.html


samedi 5 avril 2025

L'ascenseur social collectif, une imposture idéologique

Article révisé le 05/04/2025


Le combat pour la vie est purement individuel. C'est sa collectivisation – l'union fait la force – qui le transforme en lutte des classes, sans se soucier de ce qui, incontournablement, structure la société en catégories sociales, avant que ce soit en classes. C'est ainsi que les idéologies alternativement au pouvoir, prétendent parvenir par la loi – mesure collective entre toutes – à des surclassements sociaux collectifs qui n'ont jamais rien changé aux inégalités de condition des hommes.

Les "conquêtes sociales" ne modifient pas les conditions du même nom, qu'illustre imperturbablement, à travers les millénaires, la pyramide. Aucune doctrine ne peut faire mieux que de conduire à l'illusion de changements collectifs, en s'attribuant une amélioration des conditions de vie de l'humanité les devant pour l'essentiel au progrès scientifique et technique. Par contre, chaque parcours individuel est porteur des résultats de chacun, sachant que structurellement, à population constante, tout déclassement dans un sens a pour contrepartie un déclassement en sens contraire.

Deux conceptions s'affrontent donc : l'une considérant que le bonheur de chacun DOIT résulter du bonheur de tous, par organisation de la société, l'autre que le bonheur de tous PEUT être la somme des bonheurs individuels, abusivement dénoncés comme égoïstes par toute idéologie égalitaire.

L'ascenseur social commun est à compter au nombre des fantasmes dont nous bercent ces idéologies, dès lors qu'elles le conçoivent comme l'instrument d'une accession collective à davantage de richesse. L'amélioration de son sort par chaque individu pris isolément, contribue évidemment à l'amélioration de la condition de tous, mais quelle doctrine en convient ouvertement et reconnaît que cette amélioration collective ne résulte que de motivations et d'efforts individuels ? Il y aurait pourtant de quoi rassurer ceux qu'inquiète le sacrifice de l'individu sur l'autel d'un nivellement qui le détruit en le rendant chaque jour un peu moins responsable de son propre destin ? C'est pourtant sur l'activité de ces "individualistes égoïstes" que repose l'amélioration du sort de tous. La condition humaine a été considérablement changée au cours des deux derniers siècles, grâce à l'industrialisation des tâches, mais attribuer ces changements à la lutte des classes est une duperie, que des maîtres à penser s'entêtent à ne pas admettre pour conserver leur influence, n'ayant fait la preuve que de son impuissance à changer la condition des plus dédhérités, à en juger par la rémanence des revendications sociales, depuis leur origine.

Il faut donc dénoncer le caractère illusoire d'un ascenseur social collectif. Les seules énergies qui le meuvent sont avant tout individuelles, au bénéfice de l’ensemble de la société, y compris de ceux de ses membres qui, plutôt que de contribuer à son fonctionnement, attendent des efforts d’autrui une amélioration de leur propre sort. L'ascenseur social ne peut raisonnablement et durablement fonctionner qu'avec des énergies personnelles qu’il faut bien se garder de décourager. Si pour des raisons humanitaires il doit prendre en charge ceux que le sort frappe d'incapacité réelle, il ne doit ni ne peut admettre que soient considérés comme tels, ceux qui attendent tout de la collectivité.


Convaincu du caractère immuable de la pyramide sociale et de notre hérédité du même nom, Bourdieu a contesté le fonctionnement de l'ascenseur social, au-delà des cas particuliers dont il était et demeure personnellement la démonstration. A-t-il pour autant "craché dans la soupe", comme l'en accusent ceux dont il a ce faisant ébranlé l'idéologie ? N'a-t-il pas plus simplement fait preuve de clairvoyance et d'honnêteté, bien qu'en en restant à sa notion de "champ" au détriment de la troisième dimension de la condition humaine que représene la pyramide sociale  ?


Seul le progrès résultat du travail de ceux qui y contribuent personnellement, mérite d'être désigné comme moteur de l'élévation de notre niveau de vie, dans la relativité des notions de richesse et de pauvreté. Et c'est un mensonge, au détriment des idéaux de solidarité les moins exigeants, que de vouloir faire croire à l'individu qu'il puisse s'élever socialement au-delà de la mesure dans laquelle il y contribue personnellement.

La conception et le fonctionnement d'un ascenceur social collectif existe, consistant à consacrer une part de la richesse de la société au réhaussement de l'ensemble de a pyramide sociale, avec pour effet d'en isoler la base du niveau Zér0 de cette richesse. C'est l'objet du “revenu universel”, encore considéré comme une utopie, en raison de ses difficultés d'application, davantage que dans ses principes.

https://pyramidologiesociale.blogspot.com/2018/06/ineluctables-inegalites-sociales.html


dimanche 17 mars 2024

Invitation & avertissement

 

Invitation & avertissements


Sauf accès direct à un article, par son adresse obtenue par ailleurs :

Pour une meilleure compréhension de la raison d’être de ce blog et de son contenu, il est recommandé de procéder à sa visite en commençant par la lecture − dans l’ordre indiqué − des quelques articles auxquels renvoient les liens ci-après.

Mais attention :

Avertissement n° 1 Ce contenu peut heurter toute personne immature ou dominée par ses émotions et ses croyances, de nature notamment théologique et politique.

Avertissement n° 2Les propos qui suivent sont déterminants pour la compréhension des raisons pour lesquelles le polyèdre pyramidal y est considéré comme représentatif de la structure de toute société fondée sur l’altérité plus ou moins différenciée de ses membres, comme l’est celle de l’humanité.

Dans sa “Psychologie des foules” (éditions originale Alcan, Paris 1895) Auguste Le Bon écrit : « Au point de vue de la vérité absolue, un cube, un cercle [une pyramide]* sont des figures géométriques invariables, rigoureusement définies par certaines formules. Au point de vue de notre œil, figurer les objets avec leur forme géométrique exacte serait déformer la nature et la rendre méconnaisable. Si nous supposons un monde dont les habitants ne puissent que copier ou photographier les objets, sans avoir la possibilité de les toucher, ils n’arriveraient que très difficilement à se faire une idée exacte de leur forme. La connaissance de cette forme, accessible seulement à un petit nombre de savants, ne présenterait d’ailleurs qu’un intérêt très faible.

Le philosophe qui étudie les phénomènes sociaux doit avoir présent à l’esprit, qu’à côté de leur valeur théorique ils ont une valeur pratique, et que, au point de vue de l’évolution des civilisations, cette dernière est la seule possédant quelque importance. … Si nous voulons rester dans les limites étroites mais sûres des choses que la science peut connaître, et ne pas errer dans le domaine des conjectures vagues et des vaines hypothèses, il nous faut constater simplement les phénomènes qui nous sont accessibles, et nous borner à cette constatation ».

* Aussi brève que puisse être cette énumération, il est pour le moins curieux que le polyèdre pyramidal en soit absent, alors que le sociologue émérite qui en est l’auteur, traite de questions concernant des foules dont la représentation la plus communément admise est précisément le polyèdre pyramidal.

Quoi qu’il en soit, les propriétés géométriquement définies d’un cercle, d’un cube, ou du polyèdre pyramidal, ne changent pas avec la vue qu’en a l’observateur ; c’est donc précisément parce que ces propriétés sont par définition immuables, qu’elles peuvent garantir l'objectivité et la pérennité d'une étude de la condition de ses occupants.

Il est donc précisé que pour les besoins d'une telle étude, le volume de la pyramide “sociale“ est quant à lui conventionnellement admis comme représentatif de l'importance en nombre de son peuplement, constitué de l’ensemble de la société dont elle est la figuration, dans l’altérité hiérarchisée de ses membres, telle qu’elle résulte des hasards de la naissance et de l’héritage génétique, social et culturel de chacun d'entre eux, quels que soient les aléas de son existence par la suite.


Pour tout commentaire, merci d'utiliser le formulaire proposé en fin d'article.


Pourquoi la pyramide sociale ?

https://pyramidologiesociale.blogspot.com/2023/07/de-la-tour-de-babel-la-pyramide-sociale.html

La Pyramidologie sociale, qu’est-ce que c’est ?

https://pyramidologiesociale.blogspot.com/2022/01/la-pyramidologie-sociale-quest-ce-que.html

De la relation entre condition humaine, démographie et économie.

https://pyramidologiesociale.blogspot.com/2020/01/du-binome-economie-population.html

Des conséquences suicidaires de l’aveuglement de l’humanité, quant à sa propre condition.

https://pyramidologiesociale.blogspot.com/2020/10/le-syndrome-de-lautruche.html

Pyramidologie sociale : Questions et réponses

https://pyramidologiesociale.blogspot.com/2023/09/quiz-pyramidologie-sociale.html

mardi 27 février 2024

Démographie et démocratie

Article révisé le 27/02/2024

Si parmi les multiples pièges qui menacent la démocratie, le dogmatisme, le sectarisme, le mensonge, la cupidité, la corruption, l'intolérance, etc. sont sans cesse évoqués, avec autant d'hypocrisie que de superfluité, il en est un dont les hommes dans leur grande majorité ne semblent pas avoir conscience. Il est pourtant devenu le plus redoutable, après s'être installé au su et à la vue de tous durant des siècles, sans apparemment éveiller la méfiance de qui que ce soit. Il s'agit de la surpopulation ; ce qui peut expliquer que les ennemis de la démocratie se multiplient et le soient en premier lieu au nom de la conquête ou de la défense de leur espace vital.

Après le "Croissez et multipliez" biblique des prelières religions monothéistes, n'est-elle pas l'arme fondamentale des extrémismes les plus enracinés, dont ceux qui règnent au Moyen-Orient ne sont hélas qu'un exemple trop parlant : «Comme aimait à dire Yasser Arafat : La meilleure arme de l'Organisation de libération de la Palestine, c'est l'utérus des Palestiniennes [Cf. Boumediene, Kadhafi, Erdogan, … proclamant à la face du monde que l'Islam ferait sa conquête du monde par le ventre de ses femmes] » Ou, pour ne pas être accusé de sionisme : « Les haredims sont encore minoritaires en Israël, mais ils s'acharnent à changer cet état de fait. Et leur tactique est simple : ils procréent. Les familles ultra-orthodoxes comptent en moyenne près de sept enfants ; les fratries de dix ou plus ne sont pas rares… un quotidien de Jérusalem cite un haredim qui se vante d'avoir 450 descendants.» (COMPTE À REBOURS - Alan Weisman - Flammarion - Déc 2013)

Quels que soient notre souci du bien commun et notre soif de partage et de justice, nous ne pouvons ignorer qu'en dépit des progrès qu'elle a accomplis depuis, la République a été inventée à une époque ou la population humaine, dispersée sur la planète, n'était au plus que de quelques centaines de millions d'individus de toutes conditions.

Or, même s'il suffit de deux hommes sur un même territoire pour qu'y règne l'antagonisme, voire la discorde ou pire, leur nombre a crû dans une telle mesure qu'il engendre dorénavant désordres, peur et repli sur soi-même. Par la disparité des opinions qui s'y expriment, les conflits d'intérêts qui s'y manifestent ; par la transformation en cacophonie du moindre débat ; par une ingouvernabilité conduisant des leaders débordés à employer tôt ou tard la force au détriment de la raison ; par l'aggravation qui en découle du sort des plus démunis ; par le quotient de la part des richesses susceptible de revenir à chacun – à commencer par les libertés, tant individuelles que collectives –, le surnombre réduit à néant toute volonté démocratique, sauf à viser un utopique égalitarisme dans la pauvreté généralisée.

« Chacun a le souvenir d'un monde qui était meilleur. Moins peuplé. Plus agréable. Où l'on se sentait plus libre. » (Alan Weisman). Tous les pouvoirs le savent et pourtant tous les pouvoirs ont le culte du nombre. Nulle religion ni secte qui ne cherche à multiplier celui de ses fidèles, nul pouvoir politique ne veuille accrôitre le nombre de ses partisans, nulle institution ou association qui ne s'efforcent de rallier un maximum de membres ; nulle commune, région ou état qui ne fonde sa puissance, son avenir – et accessoirement le bonheur de sa population – sur l'importance de celle-ci.

Comme elle est le moyen infaillible de réduire le nombre de pauvres, par simple effet de proportionsla dénatalité apparaît dès lors comme la seule mesure propre au rétablissement de l'équilibre démographique indispensable à la restauration et à la pérennité de cette démocratie porteuse de plus de justice, de responsabilité et de solidarité ; souhait de tous les vrais républicains.

mercredi 31 janvier 2024

Désmicardiser, ou instaurer un revenu universel ?

 Sans prétention scientifique, les schémas qui suivent ainsi que les données factuelles et chiffrées étayant le raisonnement qu’ils illustrent, sont empruntés en toute simplicité à des disciplines scientifiquement établies.

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Pour autant que désmicardiser consiste à faire en sorte qu’aucun revenu ne soit inférieur au SMIC (salaire minimum interprofessionnel de croissance), la structure sociale de l’humanité comme de toute nation l’interdit, en raison de l’incessante croissance démographique planétaire avec ses retombées inévitables sur tous les pays du monde ; la misère se prêtant partout et sans retenue au jeu des vases communicants, depuis le niveau zér0 de la richesse qu’est la pauvreté extrême

Quelle qu’en soit la nature, la répartition des richesses de la société est en effet indissociable de l’augmentation de la population, en cela qu’elle a pour première conséquence d’éloigner sans cesse la base de la pyramide sociale de son sommet et de creuser d’autant les inégalités sociales dont cet écart est l’expression globale, dans son intemporelle relativité

C’est ainsi que sur 100 Terriens qui viennent s’ajouter à la population mondiale, 14 vont structurellement rejoindre les “riches” occupants du sommet de la pyramide, les 86 restant allant grossir les rangs des “pauvres” qui en peuplent la base, jusqu’à l’inexpugnable niveau zér0 de la richesse

Il est ainsi d’autant plus illusoire qu’éphémère de vouloir procéder à une désmicardisation de la société, que la répartition de ses membres est incessamment réajustée dans leur interdépendance, hiérarchisée par les hasards de la naissance de chacun et son héritage génétique, social et culturel, quels que soient les aléas de son existence par la suite

La seule solution qui offrirait aux plus pauvres des êtres humains la garantie d’un SMIC , consisterait à en faire un RUMI – Revenu universel minimum et inconditionnel – les isolant du niveau zér0 de la richesse collective, dans des conditions qu’il sera toutefois nécessaire d’ajuster avec :

1° des idéologies politiques ayant toutes fait la preuve de leur impuissance à solutionner le problème fondamental que pose la pauvreté profonde.

2° une démographie mondiale dont la dogmatique autant qu’incessante croissance, fait de toute volonté réaliste d’améliorer le sort des plus pauvres, un tonneau des Danaïdes.

3° De la richesse, niveau de vie et plus particulièrement le pouvoir d’achat de la population de chaque pays, bien que les pays les plus riches puissent contribuer aux efforts des plus pauvres, avec pour objectif de contribuer à l’apaisement des relations entre tous.










À propos du schémas ci-dessus :

– Le point de départ de la flèche de droite, marque le niveau de la richesse collective se substituant à son niveau zér0, auquel sont élevés tous les pauvres profonds, par injection du revenu universel à la base de la pyramide sociale. En d’autres termes, davantage que “soulager” les plus pauvres par l’assistanat, ils sont structurellement “isolés” de l’irrémédiable niveau zér0 de la richesse.

– La flèche de gauche quant à elle, indique comment l’impôt collectif finance structurellement le revenu universel ; ce que perçoivent à ce titre tous les “riches” leur étant repris par le prélèvement de l’impôt sur le revenu, payé par tous les citoyens proportionnellement au revenu de chacun.

mercredi 27 septembre 2023

Pyramidologie sociale, questions & réponses

Article sujet en remaniement constant

Dernière révision, correction ou ajout : 27/09/2025




Série de questions/réponses destiné aux visiteurs du blog
en vue de préciser les sujets abordés dans les articles qui y sont publiés et de donner suite aux interrogations que peuvent susciter leur  lecture


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Q 1 : Pourquoi le titre et le contenu de ce blog font-ils référence au polyèdre pyramidal ?

R 1 : Dans sa “Psychologie des foules” (éditions originale Alcan, Paris 1895) Auguste Le Bon écrit : « Au point de vue de la vérité absolue, un cube, un cercle [une pyramide]* sont des figures géométriques invariables, rigoureusement définies par certaines formules. Au point de vue de notre œil, figurer les objets avec leur forme géométrique exacte serait déformer la nature et la rendre méconnaisable. Si nous supposons un monde dont les habitants ne puissent que copier ou photographier les objets, sans avoir la possibilité de les toucher, ils n’arriveraient que très difficilement à se faire une idée exacte de leur forme. La connaissance de cette forme, accessible seulement à un petit nombre de savants, ne présenterait d’ailleurs qu’un intérêt très faible.

Le philosophe qui étudie les phénomènes sociaux doit avoir présent à l’esprit, qu’à côté de leur valeur théorique ils ont une valeur pratique, et que, au point de vue de l’évolution des civilisations, cette dernière est la seule possédant quelque importance. … Si nous voulons rester dans les limites étroites mais sûres des choses que la science peut connaître, et ne pas errer dans le domaine des conjectures vagues et des vaines hypothèses, il nous faut constater simplement les phénomènes qui nous sont accessibles, et nous borner à cette constatation ».

* Il est d'autant plus curieux que le polyèdre pyramidal soit absent de cette brève énumération, que le sujet auquel elle se rapporte est l'étude de la psychologie des foules par un chercheur, ne pouvant ignorer que la représentation la plus communément admise par l'imaginaire sociologique de celles-ci est précisément la pyramide.

 Quoi qu’il en soit, les propriétés géométriquement définies d’un cercle, d’un cube, ou du polyèdre pyramidal, ne changeant pas avec la vue qu’en a l’observateur, C’est donc précisément parce que ces propriétés sont par définition immuables, qu’elles peuvent garantir l'objectivité et la pérennité d'une étude de la condition de ses occupants.

Il est néanmoins rappelé que pour les besoins de son étude, le volume de la pyramide “sociale“ est conventionnellement admis comme représentatif de l'importance en nombre de son peuplement, constitué de l’ensemble de la société, dans l’altérité hiérarchisée de ses membres, telle qu’elle résulte des hasards de la naissance et de l’héritage génétique, social et culturel de chacun d'entre eux, quels que soient les aléas de son existence par la suite.

De même que dans un esprit de simplification, cette pyramide sociale soit étudiée lissée, sans ignorer ni sous-estimer les innombrables phénomènes pouvant en affecter la régularité.

Q 2 : Contrôle démographique/ : En matière de contrôle des naissances pour ajuster la population humaine mondiale aux capacités limités de son environnement à répondre à ses besoins, pourquoi ne faut-il pas confondre “mourir” avec “ne pas naître” ?

R 2 Selon Gaston Bouthoul in “Traité de sociologie”, tome II, page 180 – Petite bibliothèque Payot, 1968. « Tout être humain est avant toute autre activité ou toute autre opinion un consommateur ». Et il l’est, comme tout autre représentation du vivant sur Terre, depuis les germes qui participent à cette consommation à travers l’organisme qui les nourrit avant leur naissance, jusqu’aux morts, par le don des atomes dont ils sont faits, et dont sera fait à son tour le vivant qui les remplacera.

Q 3 : Comparaisons entre catégories sociales et pays/ : La comparaison entre catégories sociales à des siècles et a fortiori à des millénaires de distance n’est-elle pas aberrante, le progrès technique et scientifique ayant considérablement changé les conditions d’existence des pauvres comme des riches ?Même question pour une comparaison entre pays, régions et autres collectivités, alors qu’ils peuvent 

R 3 : Si le progrès scientifique et technique a considérablement amélioré les conditions de vie matérielle de l'humanité, richesse et pauvreté existent depuis toujours et continueront d’exister l'une par l'autre, dans une relativité intemporelle, déterminant une pyramide sociale dont le volume peut représenter par convention le peuplement. Sans riches point de pauvres et réciproquement. En conséquence, ce qui compte pour chacun, est son ressenti en tant qu'occupant d’une position dans cette pyramide sociale (à l’échelle de l'humanité ou de chacune des collectivités dont elle est faite), position devant tout aux hasards de sa naissance et à l’héritage génétique, social et culturel en découlant ; quels que soient les aléas de son existence par la suite et la compassion – spontanée ou contrainte – de ses semblables. Or, l'écart existant entre la base et le sommet de cette pyramide ne cesse pas d’augmenter, avec la population et une économie déterminée par ses besoins, vitaux et accessoires ; les inégalités sociales exprimées par cet écart ne cessant de se creuser d’autant. Et ces inégalités sont d’autant plus ressenties que si la richesse n'a pas d'autres limites que les ressources dont la tirent ceux qui la convoitent, la pauvreté ayant la sienne, qui est le niveau zéro de la richesse collective, coïncidant avec sa base ; là où est condamnée structurellement à vivre ou à survivre la multitude des plus déshérités. Lire à ce sujet : https://pyramidologiesociale.blogspot.com/2023/08/de-la-repartition-structurelle- des.html

Q 4 : Quels sont les partis politiques, religions et courants de pensée qui admettent les principes de la pyramidologie sociale ?

R 4 : Aucun.  Soumis aux sentiments et aux émotions que nourrissent leurs croyances religieuses et les idéologies qui en tiennent lieu pour les laïcs, ils ignorent, négligent, voire nient le caractère incontournablement pyramidal de la structure sociale de l’humanité, pour incompatibilité avec à leur quête d'égalité, voire d'égalitarisme. C’est d’ailleurs ainsi que sans la moindre chance de triompher d’une adversité qu’il refuse de reconnaître pour ce qu’elle est, fondamentalement, l’homme se livre depuis toujours à une lutte entre riches et pauvres n’ayant fait que démontrer son impuissance, attestée par la rémanence des revendications qu'elle prétend faire triompher, sauf à usurper une amélioration de ses conditions matérielles d’existence dont l'humanité est en réalité redevable à ses progrès technique et scientifique.

Q.5 : La religion est-elle compatible avec la pyramidologie sociale ?

R.5 : La spiritualité – considérée ici comme la faculté par laquelle l’être humain tente de faire face à ses peurs et à son angoisse et qui lui est généralement aussi nécessaire que le pain et l’eau, la question est probablement moins affaire de compatibilité que de pragmatisme et d’exégèse. C’est en effet le dogmatisme religieux - spécialement monothéiste – qui pose problème par ses encouragements à la surnatalité, suivi des effets de l’exonération scientifique de la loi de sélection naturelle, ayant entraîné puis favorisé jusqu’à la démesure la prolifération des êtres humains, accompagnée de l’accroissement incessant de leurs besoins, au détriment d'eux-mêmes et des autres espèces avec lesquelles ils partagent leur environnement.

Q 6 : Le contrôle de la natalité ne sonne-t-il pas le glas de la famille nombreuse ?

R 6 : Un taux de natalité optimisé, garantissant l’équilibre entre la population humaine mondiale et son environnement étant une moyenne, la famille nombreuse peut exister, pour autant que leur nombre n’aille pas jusqu’à rompre cet équilibre.

Q 7 : Ceux qui pensent que la prolifération humaine ayant mené à la surpopulation d’un environnement aux ressources limitées, et qu'en conséquence la démographie humaine doit être contrôlée et stabilisée, ne feraient-ils pas mieux de commencer par se supprimer eux-mêmes ?

R 7 : Éliminer ou inviter à s’éliminer d’eux-mêmes les porteurs d’opinions controversées, relève de l’autodafé et ne change en rien la réalité des faits et des chiffres. Sans compter que c’est en vieillissant que mûrit le savoir utile à la collectivité que chacun acquiert au cours de son existence, par l’expérience et l’étude. Encore faudrait-il d'ailleurs que ceux qui le désirent – et qui doivent être plus nombreux encore que les femmes désireuses d'interrompre leurs grossesses – aient le droit et les moyens adaptés d'y satisfaire, ce qui est loin d'être le cas, la libre disposition de sa propre vie étant frappée d'un tabou de portée au moins égal à celui concernant la dénatalité.

Quoi qu'il en soit, la surpopulation humaine est un problème collectif qui ne peut être solutionné que collectivement, par application de mesures consensuelles, expliquées et consenties.

Il est par ailleurs évident que toutes mesures susceptibles de remédier aux problèmes que pose la surpopulation humaine ne pouvant produire leur effet qu’à de dizaines d’années de distance, ceux qui en sont préoccupés ne le sont pas pour eux-mêmes et ne peuvent y oeuvrer qu'au profit de la collectivité humaine et de ses générations futures.

À noter enfin, que bien que n'étant pas une pyramide mais un rhomboïde, la représentation de l'humanité par tranches d'âge illustre une problématique elle aussi d'ordre structurel, dont les difficultés de résolution n'ont rien à envier à celles concernant les inégalités sociales, dans la même relation avec une démographie non maîtrisée.  


Q 8 : Quelle relation entre démographie de la pauvreté et de la richesse, la pyramidologie sociale permet-elle de démontrer ?

R 8 : La pyramidologie sociale démontre, par référence aux propriétés du polyèdre pyramidal, que ses populations de riches et de pauvres s'y développent à des cadences différentes, selon le niveau de la pyramide sociale où se situent les uns et les autres.






C'est ainsi que toujours structurellement, l'augmentation de la population humaine comme de ses richesses collectives se traduit par une multiplication des pauvres à une cadence pouvant être plus de 6 fois celle des riches.
Cf. https://pyramidologiesociale.blogspot.com/2017/10/plus-sa-population-augmente-plus-la.html


Q 9 : Qu’est-ce que le binôme économie-population, et en quoi est-il indissociable ?

R 9 : Parce qu’il doit impérativement ne serait-ce que se nourrir, se vêtir, se loger et se soigner, « l’hom-me est avant toute autre considération un consommateur » (Gaston Bouthoul, in Traité de sociologie, Petite bibliothèque Payot, 1968 tome II, page 180), qui se double d’un producteur dès qu’il est en âge de travailler. Il est de la sorte un agent économique au service de la société, bien avant sa naissance et après sa mort, comme en témoignent la prospérité des marchés du prénatal et du mortuaire. Et plus le nombre de ces agents augmente, plus leurs besoins s’accroissent et s'ajoutent à ceux qu’ils s’inventent toujours plus nombreux. C'est ainsi qu'avec l'aide du progrès scientifique et technique, plus ils produisent, consomment et échangent, plus les êtres humains s’enrichissent, quelles que soient les conditions du partage de leurs richesses entre eux, et les dommages en résultant, en termes de ressources comme de déchets et de pollution, pour leur environnement et l'ensemble du vivant avec lequel il le partagent. 



Q 10 : Comment un pauvre profond peut-il compter parmi les esclaves de la société moderne, alors que son état est le plus souvent dû à l’absence du revenu qu’il devrait normalement tirer de l’emploi dont il est privé par un marché – du travail – lui étant défavorable. ?

R 10 : Parce que la notion de servitude ne doit pas être réduite à celle du travail et d’un emploi. Plus encore que réduit à la servitude d’un travail, l’homme peut être par exemple esclave de l’économie, en tant que consommateur, ne serait-ce que pour satisfaire ses besoins strictement vitaux, situation aggravée par le manque de moyens précité.


Q 11 : Á propos du revenu universel - RU :

Des lecteurs plutôt favorables à l’instauration d’un revenu universel, y deviennent réticents et vont même jusqu’à en rejeter catégoriquement le principe, à l’idée de rémunérer des bénéficiaires à qui il permettra d’exercer impunément leur paresse.

R 11 : C’est méconnaître ou oublier au moins trois considérations :

a - Le revenu "universel" doit par définition être alloué à tous les membres de la société, dans l’altérité qui les caractérise, et telle que la revendiquent librement ses représentants les plus atypiques.

b - Tous les bénéficiaires du revenu universel sont des consommateurs, dont il est attendu qu’ils en fassent vivre l’économie, par la satisfaction des besoins dont il a précisément pour objet de satisfaire la partie vitale. Tout citoyen désirant améliorer sa condition, demeure à tout moment libre d’exercer une activité rémunérée, sans perdre le bénéfice du RU.

c - S’agissant d’une mesure dictée par le caractère structurel incontournablement pyramidal et inégalitaire de la société, celle-ci se dote, par l’instauration du revenu universel, d’un moyen d’en atténuer les effets, y compris ceux qui dérogent le plus à ses valeurs traditionnelles, sachant que son revenu universel peut être librement amélioré par quiconque est capable d’exercer une activité rémunérée. Les citoyens privés de cette capacité pour des raisons indépendantes de leur volonté continuent d’être secourus par un dispositif réglementé de santé et d’aide publique.

d - Tout bénéficiaire est libre, à tout moment, d'en réfuser le bénéfice comme d'en demander la restitution s'il y a renoncé.

Observation QR 11 : Un consommateur flemmard n’est-il pas plus profitable à une socioéconomie surpeuplée, qu’un producteur que peut remplacer une machine ?

Q12 : Quid de la comparaison entre pyramide sociale de divers pays ?

R 12 :  Comme déjà évoqué, la pyramide sociale dont il est traité sur ce blog se rapporte à l'humanité entière, mais en allant du général au particulier, toute collectivité humaine – en n’importe quels lieux ou époques – étant soumise au caractère structurellement pyramidal de sa structure sociale, il faut savoir que chacune vaut dans la relativité de sa richesse collective par rapport à toute autre pyramide à laquelle elle pourrait être comparée, de même que la richesse de chacun de ses occupants l’est quelle que soit la position qu’il y occupe.

Vous pourrez éventuellement trouver quelques avertissements de ce genre sur mon blog.

...

Les curieux sont cordialement invités à poser leurs questions via le formulaire de contact situé en fin de la présente page.

dimanche 27 août 2023

De la répartition structurelle des richesses du monde

Dernière révision le 06/01/2025


Richesse et pauvreté existent l’une par l’autre, dans leur relativité. Sans riches point de pauvres et réciproquement.

Par ailleurs, en raison :

1° Du caractère incontournablement pyramidal de notre structure sociale, telle qu’il résulte des hasards de la naissance et de l’héritage génétique, social et culturel de chacun de ses occupants, quels que soient les avatars de son existence par la suite,

2° De l’augmentation incessante de la population humaine, depuis ses origines : plus il y a de riches, plus il y a de pauvres et réciproquement, à proportions constantes : 14 % de riches pour 86 % de pauvres (cf. schémas en fin d’article).


Il en résulte :

1° Que par ignorance, par négligence, ou par déni de ces réalités fondamentales de la condition humaine, les inégalités sociales ont toujours cru et continuent de croître avec le développement de la société humaine, depuis qu’elle existe, quelles que soient les mesures que l’homme a pu tenter de prendre, en vue d'une redistribution équitable des richesses matérielles que lui offre la nature et qu’il tire de son industrie.

. 2° Que la multiplication des pauvres, dont le nombre peut être considéré comme le premier indicateur de la pauvreté de la société, est et a toujours été, structurellement et avant toute autre considération, une affaire de démographie.


C’est ainsi en effet que se présente l’indissociable binôme économie population, dont l'histoire se confond avec celle de l'humanité et de son environnement, telle que déterminée par ses besoins et les ressources dont elle a disposé pour les satisfaire.

Sans cesse rendu plus performant par le progrès technique et scientifique, ce moteur du développement de l’humanité l’a entraînée au cours des millénaires, mais ce sont ses pilotes qui en ont déterminé l’orientation et l'évolution. Or, quelles qu’aient été de tous temps leurs valeurs de référence, nous pouvons constater de nos jours que le nombre de pauvres n’a jamais cessé d’augmenter.


Répartition de la richesse de la société

par catégories sociales












mardi 1 août 2023

Pyramidologie sociale et intelligence artificielle (1)

Article révisé le 01/03/2024 - 01/08/


Proposition de définition de l'IA :

"Hyper Moteur de recherche informatisé"

Méthode de collecte, de mémorisation, de traitement et de restitution de données les plus diverses, algorithmique et informatisée, visant à se substituer à la mémoire et au raisonnement humain.

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Tout l'intérêt de l'Intelligence artificielle pourrait être dans sa promesse de libérer la réflexion et la décision de l'être humain, des sentiments et émotions qui le paralysent. 

Mais encore faudra-t-il que cette IA, encore loin d'échapper au pouvoir de l'homme, ne soit pas elle-même soumise à un masquage des vérités "qui dérangent", notamment en ce qui concerne la condition humaine.

Au stade actuel et prévisible de son développement, il est en effet possible d'y distinguer, sinon la censure, au moins l'esquive des questions qui pourraient y conduire, comme le démontre le dialogue ci-après :

Question 1 à ChatGPT

Relation entre condition humaine et caractère pyramidal de la structure sociale de l’humanité ?

Réponse de ChatGPT

La relation entre la condition humaine et le caractère pyramidal de la structure sociale de l’humanité est complexe. Le caractère pyramidal se réfère généralement à une hiérarchie sociale avec une minorité au sommet et une majorité à la base.

Certains soutiennent que la condition humaine, marquée par la compétition, la quête de pouvoir et la diversité des compétences, a historiquement conduit à la formation de structures sociales pyramidales. Ces structures peuvent être observées dans les systèmes politiques, économiques et même culturels.

D’un autre côté, d’autres théories mettent en évidence que certaines structures sociales ont été façonnées intentionnellement pour maintenir le pouvoir et son contrôle entre les mains de minorités privilégiées ; ceci pouvant aggraver les inégalités sociales et non les réduire.

Il est important de noter que l’analyse de cette relation est multidimensionnelle et peut varier en fonction du contexte historique, culturel et géographique.


Question 2 à ChatGPT

En quoi le contexte historique, culturel, géographique ou économique, peut-il influencer le caractère pyramidal de la société humaine ?

Réponse de ChatGPT

Le contexte historique, culturel, géographique et économique joue un rôle crucial dans l’influence du caractère pyramidal de la société humaine. Voici quelques points clés sur chaque aspect :

1. Contexte historique : Les événements passés, les conquêtes, les systèmes politiques et les traditions peuvent façonner la structure sociale d’une société. Par exemple, les anciennes civilisations avaient souvent des hiérarchies de pouvoir basées sur le pouvoir centralisé des rois ou des empereurs.

2. Contexte culturel : Les valeurs, les croyances et les normes culturelles d’une société peuvent influencer la façon dont les individus sont classés dans la hiérarchie sociale. Certaines cultures accordent une importance particulière à la hiérarchie et au respect de l’autorité, ce qui peut renforcer une structure pyramidale.

3. Contexte géographique : La géographie peut jouer un rôle dans l’établissement de hiérarchies sociales. Par exemple, des ressources rares ou des conditions environnementales difficiles peuvent donner le pouvoir à ceux qui contrôlent ces ressources, créant ainsi des inégalités sociales.

4. Contexte économique : Les systèmes économiques tels que le capitalisme ou le socialisme peuvent avoir un impact sur la répartition des richesses et du pouvoir dans la société. Dans un système capitaliste, les inégalités économiques peuvent contribuer à une structure sociale pyramidale.

Tous ces facteurs interagissent pour façonner la structure sociale d’une société donnée. Cependant, il est essentiel de noter que les sociétés humaines sont dynamiques, et ces facteurs peuvent évoluer au fil du temps, entraînant des changements dans la nature et le caractère des hiérarchies sociales.

Question 3 à ChatGPT

Le caractère pyramidal de toute structure sociale fondée sur l’altérité hiérarchisée de ses membres, par les hasards et l’héritage génétique, social et culturel de chacun n’est-il pas incontournable ?

Réponse de ChatGPT

Le caractère pyramidal d’une structure sociale, fondée sur l’altérité hiérarchisée de ses membres, peut sembler incontournable dans de nombreuses sociétés en raison des facteurs complexes tels que l’héritage génétique, social et culturel de chacun, ainsi que les inégalités socio-économiques et politiques. Cependant, il est essentiel de se rappeler que cette structure n’est pas intrinsèque à la nature humaine ou à toutes les sociétés.

Il existe des sociétés et des communautés qui ont adopté des modèles sociaux plus égalitaires, où les hiérarchies sont moins prononcées. Certaines cultures autochtones, par exemple, ont des systèmes sociaux plus collectifs et coopératifs, où les décisions sont prises en concertation avec tous les membres.

Le caractère pyramidal d’une structure sociale est souvent influencé par des facteurs historiques, économiques, politiques et culturels spécifiques à une société donnée. Les systèmes de gouvernance, les normes culturelles et les valeurs partagées contribuent à façonner la structure sociale.

Bien qu’il puisse sembler difficile de changer radicalement certaines structures sociales, il est possible d’œuvrer pour réduire les inégalités, promouvoir l’égalité des chances et favoriser un dialogue inclusif pour un système plus équitable. La prise de conscience des biais et des préjugés sociaux peut également aider à remettre en question les modèles hiérarchiques qui peuvent être injustes ou oppressifs.

« Pyramidologie sociale » semble faire référence à un concept lié à la pyramidologie sociale, qui est l’étude des hiérarchies et des structures sociales au sein des sociétés. Cela implique d’examiner les différentes couches ou niveaux de la société, souvent représentés sous forme de pyramide, afin de comprendre la répartition du pouvoir, de la richesse et du statut social entre les individus ou les groupes.

Si vous avez des questions spécifiques ou des sujets liés à la pyramidologie sociale, n’hésitez pas à demander, je ferai de mon mieux pour vous aider !

Question 4 à ChatGPT

Qu’est-ce que la pyramidologie sociale ?

Réponse de ChatGPT

La « pyramidologie sociale » n’est pas un terme couramment connu ou reconnu dans le domaine académique. Il est possible que ce soit un concept spécifique à un groupe particulier ou qu’il soit lié à une théorie ou une idéologie spécifique. Sans plus de contexte, il est difficile de fournir une définition précise. Pourriez-vous m’en dire plus sur ce que vous entendez par « pyramidologie sociale" ?

La « pyramide sociale » est un concept qui représente la structure hiérarchique de la société, où les individus sont classés en fonction de leur statut, de leur pouvoir ou de leur influence. Cette représentation sous forme de pyramide montre généralement les différentes couches de la population, de la classe la plus élevée (comme les élites, les dirigeants, les riches) à la classe la plus basse (comme les personnes défavorisées, les travailleurs peu qualifiés).

Cette hiérarchie sociale peut être déterminée par divers facteurs tels que la richesse, l’éducation, l’occupation, le pouvoir politique ou encore l’appartenance à un groupe spécifique. La pyramide sociale peut être utilisée pour analyser les inégalités et les dynamiques sociales au sein d’une société donnée.


Contribution de l’usager

La pyramidologie sociale est l’étude de la relation existant entre la société humaine et le caractère fondamentalement pyramidal de sa structure sociale

Réponse de ChatGPT

Je vous remercie pour cette précision. En effet, la « pyramidologie sociale » est alors l’étude de la relation entre la société humaine et la structure pyramidale de sa hiérarchie sociale. Cette approche cherche à analyser comment les différentes strates de la société interagissent et comment la pyramide sociale peut influencer les dynamiques sociales, les inégalités, et la répartition du pouvoir au sein d’une société. Cette étude peut permettre de mieux comprendre les systèmes sociaux et les mécanismes qui régissent les interactions entre les individus et les groupes au sein d’une communauté donnée.

Question 5 à ChatGPT

Pourquoi « pyramide sociale » et « pyramidologie sociale » ne figurent-ils pas au répertoire des termes employés en sciences humaines ?

Réponse de ChatGPT

En sciences humaines, certains concepts ou termes peuvent être largement utilisés et reconnus par la communauté académique, tandis que d’autres peuvent être moins courants ou spécifiques à certains domaines de recherche. Les termes « pyramide sociale » et « pyramidologie sociale » peuvent ne pas figurer dans le répertoire des termes les plus couramment employés pour plusieurs raisons :

1. Préférence pour d’autres termes : Les chercheurs et les universitaires peuvent utiliser d’autres expressions ou terminologies plus établies pour décrire des concepts similaires. Par exemple, le terme « structure sociale » est souvent utilisé pour décrire la hiérarchie et l’organisation des individus au sein d’une société.

2. Caractère spécifique ou récent : Certains concepts peuvent émerger dans des contextes spécifiques de recherche, et leur popularité peut être limitée à certains cercles académiques.

3. Variété de termes : Dans les sciences humaines, il peut exister plusieurs termes ou concepts pour décrire des phénomènes similaires, ce qui peut rendre difficile l’inclusion de tous ces termes dans un répertoire exhaustif.

4. Évolution des termes : Le langage académique évolue avec le temps, de nouveaux termes peuvent émerger tandis que d’autres peuvent tomber en désuétude.

Il est essentiel de se rappeler que le champ des sciences humaines est vaste et en constante évolution. Les chercheurs et les universitaires continuent de développer de nouvelles idées et de nouvelles terminologies pour décrire et comprendre la complexité de la société humaine. Certains termes, bien que moins répandus, peuvent être tout aussi pertinents et valides dans des contextes de recherche spécifiques.

Contribution de l’usager

La pyramidologie sociale est une méthode d’investigation et de réflexion s’appuyant sur les propriétés géométriques du polyèdre qu’est la pyramide et des données factuelles chiffrées vérifiables ; cette méthode pouvant conduire à une théorie à caractère sociologique, pour qui admet que toute structure hiérarchisée par l’interdépendance de ses membres – à commencer par la société des hommes – puisse être ainsi représentée, le volume de la pyramide variant avec sa population, et sa hauteur avec la richesse collective pouvant lui être associée, sous ses diverses formes.

De portée universelle, descriptive et réaliste, la pyramidologie sociale n’est ni une idéologie politique ou sociale, ni faite de croyances religieuses. Si elle est susceptible de plus ou moins s’accorder avec l’une d’entre elles ou d’en susciter une supplémentaire, comme toute spéculation livrée à l’imaginaire humain, elle est avant tout un instrument « logico-expérimental » (Wilfredo Pareto) de remise en cause, s’offrant à qui accepte que la réalité puisse limiter son utopie.

Nota I : Si la pyramide sociale représente la société humaine à toutes les époques, dans la relativité intemporelle des notions de richesse et de pauvreté ; quelle que soit la collectivité considérée : locale, régionale, nationale, etc., c’est à l’échelle mondiale qu’elle est étudiée ici. La pyramide sociale mondiale conditionne en effet toutes celles – nationales par exemple – dont elle est la combinaison, au-delà de leur simple addition. Et l’inverse est d’autant moins vrai qu’est faible le poids sociopolitique de chacune des nations concernées, tel que résultant de sa démographie et de son économie. En d’autres termes, la condition sociale de toute nation est influencée par celle régnant mondialement alors qu’à l’inverse cette influence de chaque nation à l’égard du monde entier est nécessairement limitée, voire insignifiante.

Nota II : L’étude de la pyramide sociale faisant intervenir des considérations d’ordre simplement “structurel”, dans le sens d’architectural, il serait erroné d’y mêler cette science reconnue qu’est le structuralisme.

Réponse de ChatGPT

Merci pour cette explication détaillée sur la « pyramidologie sociale ». Cela clarifie bien le concept. En effet, la pyramidologie sociale est une méthode d’investigation qui se base sur les propriétés géométriques de la pyramide pour étudier et réfléchir aux structures hiérarchisées de la société, en prenant en compte des données chiffrées vérifiables. Elle vise à représenter et analyser les interdépendances entre les membres de la société et à comprendre comment la population et la richesse collective peuvent influencer cette structure.

Il est intéressant de noter que cette approche se veut descriptive et réaliste, n’étant pas liée à une idéologie politique ou religieuse spécifique. Elle offre un outil logique et expérimental pour remettre en question les structures sociales existantes, tout en reconnaissant les limites de la réalité face à l’utopie.

Enfin, vous soulignez à juste titre que cette étude concerne l’échelle mondiale de la pyramide sociale, qui influence les différentes structures nationales et locales, tandis que l’influence de chaque nation à l’égard du monde est limitée.

C’est un concept intéressant qui peut certainement apporter une nouvelle perspective dans l’analyse des structures sociétales.

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Quand l'IA évolue et se complique

https://www.causeur.fr/google-gemini-intelligence-artificielle-le-racisme-anti-blancs-progressisme-277576