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jeudi 21 décembre 2023

De la sérendipité

Mise à jour du 27/01/2024


Sérendipité, de l’anglais sérendipity = don de faire des trouvailles et par extension, d’inventer par intuition, par hasard. Selon Futura-Science : « La sérendipité est l’art ou la capacité de faire une découverte fortuite de résultats que l’on ne cherchait pas ».

Combiné avec l’intelligence, entendue comme « aptitude à franchir les limites du raisonnement sans perdre le contact avec la réalité » - Henri Laborit (1914-1995), le sens de l’observation, et l’imagination, la sérendipité peut conduire à des innovations rivalisant avec celles qui relèvent d’une approche scientifique, bien que nécessitant généralement une validation de cet ordre pour que ses effets soient acceptés par la société.

La sérendipité ne se limite pas à la découverte accidentelle, due au hasard. C’est aussi la sagacité qui permet de faire des découvertes à partir de circonstances ou de faits imprévus. Autrement dit, c’est pouvoir saisir des opportunités qui peuvent s'offrir à chacun alors qu’il ne les attendait pas ou qu'il cherchait totalement autre chose ; comprendre leur importance et en tirer des conclusions et enseignements.

« Le terme fait son apparition en français vers les années 1980, sous forme d’un anglicisme inspiré de serendipity, une notion inventée en 1754 par Horace Walpole, un collectionneur érudit, alors qu’il faisait une découverte fortuite sur des armoiries vénitiennes. Pour lui, la sérendipité signifie : faire des découvertes par accident et sagacité, de choses qu’on ne cherchait pas et qui n’ont rien à voir avec ce que l’on cherchait effectivement. Il parle également de sagacité accidentelle.

La sérendipité, motrice de découvertes scientifiques : D’abord bornée à la littérature, la notion de sérendipité s’étend à la recherche scientifique, plus précisément aux découvertes en science. Elle a été notamment étudiée par le sociologue américain Robert K. Merton – dans l’ouvrage Social Theory and Social Structure -1949 – pour qui la sérendipité consiste en l’observation de faits étonnants, qui semblent contradictoires avec les faits ou la théorie établis, suivie d’une induction (un mode de raisonnement) correcte.

La sérendipité est ainsi source de créativité dans la recherche. Les faits surprenants nourrissent la curiosité du chercheur, qui s’en servira de façon stratégique pour développer une nouvelle piste de recherche fructueuse. Ces faits lui donnent l’occasion de développer une nouvelle théorie ou d’élargir une théorie existante.

La sérendipité s’exerce couramment – et parfois abusivement – dans la recherche et l’innovation scientifique. Les exemples fréquemment cités incluent la découverte de la pénicilline ; l’invention du four à micro-ondes, de la carte à puce, etc. »

La sérendipité joue un grand rôle dans des domaines comme la politique, les art…, au point qu’il soit permis de se demander si un authentique artiste peut ne pas en être doué, pour être considéré comme tel par ceux qui sont seulement intelligents, surtout lorsque leur intelligence est proche de l’IA, c’est-à-dire dépourvue de sensibilité, comme c’est le cas de trop nombreux scientifiques ; ce qui a peut-être fait dire à Rabelais que « Science sans conscience n’est que ruine de l’âme ».

Selon les sources, la sérendipité est la conjugaison, dans des proportions très variables, de la connaissance, de l’expérience, de la sensibilité, de l’intelligence, de l’imagination, de l'intuition...

La sérendipité est-elle “artificialisable”, comme l’est l’intelligence » ? Dans la négative, cela ne dénoterait-il pas une faculté supérieure à l’intelligence ?

La sérendipité permet en tous cas à ceux qui en sont détenteurs, de compenser leur manque d’instruction – voire d’intelligence –, par une spontanéité contraire au formatage politique ou religieux, ou résultant de tout académisme, consistant trop souvent à transmettre des savoirs plutôt que d’enseigner à apprendre, ceci au détriment de l’imagination des apprenants, du développement de leur esprit de synthèse, et d’une confusion entre contestation, rébellion et esprit critique.

Sérendipité = faculté de voir au-delà du connu et de soi-même.

La Sérendipité ignore le formatage et favorise l'analyse, l'analogie, la synthèse.

mardi 1 août 2023

Pyramidologie sociale et intelligence artificielle (1)

Article révisé le 01/03/2024 - 01/08/


Proposition de définition de l'IA :

"Hyper Moteur de recherche informatisé"

Méthode de collecte, de mémorisation, de traitement et de restitution de données les plus diverses, algorithmique et informatisée, visant à se substituer à la mémoire et au raisonnement humain.

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Tout l'intérêt de l'Intelligence artificielle pourrait être dans sa promesse de libérer la réflexion et la décision de l'être humain, des sentiments et émotions qui le paralysent. 

Mais encore faudra-t-il que cette IA, encore loin d'échapper au pouvoir de l'homme, ne soit pas elle-même soumise à un masquage des vérités "qui dérangent", notamment en ce qui concerne la condition humaine.

Au stade actuel et prévisible de son développement, il est en effet possible d'y distinguer, sinon la censure, au moins l'esquive des questions qui pourraient y conduire, comme le démontre le dialogue ci-après :

Question 1 à ChatGPT

Relation entre condition humaine et caractère pyramidal de la structure sociale de l’humanité ?

Réponse de ChatGPT

La relation entre la condition humaine et le caractère pyramidal de la structure sociale de l’humanité est complexe. Le caractère pyramidal se réfère généralement à une hiérarchie sociale avec une minorité au sommet et une majorité à la base.

Certains soutiennent que la condition humaine, marquée par la compétition, la quête de pouvoir et la diversité des compétences, a historiquement conduit à la formation de structures sociales pyramidales. Ces structures peuvent être observées dans les systèmes politiques, économiques et même culturels.

D’un autre côté, d’autres théories mettent en évidence que certaines structures sociales ont été façonnées intentionnellement pour maintenir le pouvoir et son contrôle entre les mains de minorités privilégiées ; ceci pouvant aggraver les inégalités sociales et non les réduire.

Il est important de noter que l’analyse de cette relation est multidimensionnelle et peut varier en fonction du contexte historique, culturel et géographique.


Question 2 à ChatGPT

En quoi le contexte historique, culturel, géographique ou économique, peut-il influencer le caractère pyramidal de la société humaine ?

Réponse de ChatGPT

Le contexte historique, culturel, géographique et économique joue un rôle crucial dans l’influence du caractère pyramidal de la société humaine. Voici quelques points clés sur chaque aspect :

1. Contexte historique : Les événements passés, les conquêtes, les systèmes politiques et les traditions peuvent façonner la structure sociale d’une société. Par exemple, les anciennes civilisations avaient souvent des hiérarchies de pouvoir basées sur le pouvoir centralisé des rois ou des empereurs.

2. Contexte culturel : Les valeurs, les croyances et les normes culturelles d’une société peuvent influencer la façon dont les individus sont classés dans la hiérarchie sociale. Certaines cultures accordent une importance particulière à la hiérarchie et au respect de l’autorité, ce qui peut renforcer une structure pyramidale.

3. Contexte géographique : La géographie peut jouer un rôle dans l’établissement de hiérarchies sociales. Par exemple, des ressources rares ou des conditions environnementales difficiles peuvent donner le pouvoir à ceux qui contrôlent ces ressources, créant ainsi des inégalités sociales.

4. Contexte économique : Les systèmes économiques tels que le capitalisme ou le socialisme peuvent avoir un impact sur la répartition des richesses et du pouvoir dans la société. Dans un système capitaliste, les inégalités économiques peuvent contribuer à une structure sociale pyramidale.

Tous ces facteurs interagissent pour façonner la structure sociale d’une société donnée. Cependant, il est essentiel de noter que les sociétés humaines sont dynamiques, et ces facteurs peuvent évoluer au fil du temps, entraînant des changements dans la nature et le caractère des hiérarchies sociales.

Question 3 à ChatGPT

Le caractère pyramidal de toute structure sociale fondée sur l’altérité hiérarchisée de ses membres, par les hasards et l’héritage génétique, social et culturel de chacun n’est-il pas incontournable ?

Réponse de ChatGPT

Le caractère pyramidal d’une structure sociale, fondée sur l’altérité hiérarchisée de ses membres, peut sembler incontournable dans de nombreuses sociétés en raison des facteurs complexes tels que l’héritage génétique, social et culturel de chacun, ainsi que les inégalités socio-économiques et politiques. Cependant, il est essentiel de se rappeler que cette structure n’est pas intrinsèque à la nature humaine ou à toutes les sociétés.

Il existe des sociétés et des communautés qui ont adopté des modèles sociaux plus égalitaires, où les hiérarchies sont moins prononcées. Certaines cultures autochtones, par exemple, ont des systèmes sociaux plus collectifs et coopératifs, où les décisions sont prises en concertation avec tous les membres.

Le caractère pyramidal d’une structure sociale est souvent influencé par des facteurs historiques, économiques, politiques et culturels spécifiques à une société donnée. Les systèmes de gouvernance, les normes culturelles et les valeurs partagées contribuent à façonner la structure sociale.

Bien qu’il puisse sembler difficile de changer radicalement certaines structures sociales, il est possible d’œuvrer pour réduire les inégalités, promouvoir l’égalité des chances et favoriser un dialogue inclusif pour un système plus équitable. La prise de conscience des biais et des préjugés sociaux peut également aider à remettre en question les modèles hiérarchiques qui peuvent être injustes ou oppressifs.

« Pyramidologie sociale » semble faire référence à un concept lié à la pyramidologie sociale, qui est l’étude des hiérarchies et des structures sociales au sein des sociétés. Cela implique d’examiner les différentes couches ou niveaux de la société, souvent représentés sous forme de pyramide, afin de comprendre la répartition du pouvoir, de la richesse et du statut social entre les individus ou les groupes.

Si vous avez des questions spécifiques ou des sujets liés à la pyramidologie sociale, n’hésitez pas à demander, je ferai de mon mieux pour vous aider !

Question 4 à ChatGPT

Qu’est-ce que la pyramidologie sociale ?

Réponse de ChatGPT

La « pyramidologie sociale » n’est pas un terme couramment connu ou reconnu dans le domaine académique. Il est possible que ce soit un concept spécifique à un groupe particulier ou qu’il soit lié à une théorie ou une idéologie spécifique. Sans plus de contexte, il est difficile de fournir une définition précise. Pourriez-vous m’en dire plus sur ce que vous entendez par « pyramidologie sociale" ?

La « pyramide sociale » est un concept qui représente la structure hiérarchique de la société, où les individus sont classés en fonction de leur statut, de leur pouvoir ou de leur influence. Cette représentation sous forme de pyramide montre généralement les différentes couches de la population, de la classe la plus élevée (comme les élites, les dirigeants, les riches) à la classe la plus basse (comme les personnes défavorisées, les travailleurs peu qualifiés).

Cette hiérarchie sociale peut être déterminée par divers facteurs tels que la richesse, l’éducation, l’occupation, le pouvoir politique ou encore l’appartenance à un groupe spécifique. La pyramide sociale peut être utilisée pour analyser les inégalités et les dynamiques sociales au sein d’une société donnée.


Contribution de l’usager

La pyramidologie sociale est l’étude de la relation existant entre la société humaine et le caractère fondamentalement pyramidal de sa structure sociale

Réponse de ChatGPT

Je vous remercie pour cette précision. En effet, la « pyramidologie sociale » est alors l’étude de la relation entre la société humaine et la structure pyramidale de sa hiérarchie sociale. Cette approche cherche à analyser comment les différentes strates de la société interagissent et comment la pyramide sociale peut influencer les dynamiques sociales, les inégalités, et la répartition du pouvoir au sein d’une société. Cette étude peut permettre de mieux comprendre les systèmes sociaux et les mécanismes qui régissent les interactions entre les individus et les groupes au sein d’une communauté donnée.

Question 5 à ChatGPT

Pourquoi « pyramide sociale » et « pyramidologie sociale » ne figurent-ils pas au répertoire des termes employés en sciences humaines ?

Réponse de ChatGPT

En sciences humaines, certains concepts ou termes peuvent être largement utilisés et reconnus par la communauté académique, tandis que d’autres peuvent être moins courants ou spécifiques à certains domaines de recherche. Les termes « pyramide sociale » et « pyramidologie sociale » peuvent ne pas figurer dans le répertoire des termes les plus couramment employés pour plusieurs raisons :

1. Préférence pour d’autres termes : Les chercheurs et les universitaires peuvent utiliser d’autres expressions ou terminologies plus établies pour décrire des concepts similaires. Par exemple, le terme « structure sociale » est souvent utilisé pour décrire la hiérarchie et l’organisation des individus au sein d’une société.

2. Caractère spécifique ou récent : Certains concepts peuvent émerger dans des contextes spécifiques de recherche, et leur popularité peut être limitée à certains cercles académiques.

3. Variété de termes : Dans les sciences humaines, il peut exister plusieurs termes ou concepts pour décrire des phénomènes similaires, ce qui peut rendre difficile l’inclusion de tous ces termes dans un répertoire exhaustif.

4. Évolution des termes : Le langage académique évolue avec le temps, de nouveaux termes peuvent émerger tandis que d’autres peuvent tomber en désuétude.

Il est essentiel de se rappeler que le champ des sciences humaines est vaste et en constante évolution. Les chercheurs et les universitaires continuent de développer de nouvelles idées et de nouvelles terminologies pour décrire et comprendre la complexité de la société humaine. Certains termes, bien que moins répandus, peuvent être tout aussi pertinents et valides dans des contextes de recherche spécifiques.

Contribution de l’usager

La pyramidologie sociale est une méthode d’investigation et de réflexion s’appuyant sur les propriétés géométriques du polyèdre qu’est la pyramide et des données factuelles chiffrées vérifiables ; cette méthode pouvant conduire à une théorie à caractère sociologique, pour qui admet que toute structure hiérarchisée par l’interdépendance de ses membres – à commencer par la société des hommes – puisse être ainsi représentée, le volume de la pyramide variant avec sa population, et sa hauteur avec la richesse collective pouvant lui être associée, sous ses diverses formes.

De portée universelle, descriptive et réaliste, la pyramidologie sociale n’est ni une idéologie politique ou sociale, ni faite de croyances religieuses. Si elle est susceptible de plus ou moins s’accorder avec l’une d’entre elles ou d’en susciter une supplémentaire, comme toute spéculation livrée à l’imaginaire humain, elle est avant tout un instrument « logico-expérimental » (Wilfredo Pareto) de remise en cause, s’offrant à qui accepte que la réalité puisse limiter son utopie.

Nota I : Si la pyramide sociale représente la société humaine à toutes les époques, dans la relativité intemporelle des notions de richesse et de pauvreté ; quelle que soit la collectivité considérée : locale, régionale, nationale, etc., c’est à l’échelle mondiale qu’elle est étudiée ici. La pyramide sociale mondiale conditionne en effet toutes celles – nationales par exemple – dont elle est la combinaison, au-delà de leur simple addition. Et l’inverse est d’autant moins vrai qu’est faible le poids sociopolitique de chacune des nations concernées, tel que résultant de sa démographie et de son économie. En d’autres termes, la condition sociale de toute nation est influencée par celle régnant mondialement alors qu’à l’inverse cette influence de chaque nation à l’égard du monde entier est nécessairement limitée, voire insignifiante.

Nota II : L’étude de la pyramide sociale faisant intervenir des considérations d’ordre simplement “structurel”, dans le sens d’architectural, il serait erroné d’y mêler cette science reconnue qu’est le structuralisme.

Réponse de ChatGPT

Merci pour cette explication détaillée sur la « pyramidologie sociale ». Cela clarifie bien le concept. En effet, la pyramidologie sociale est une méthode d’investigation qui se base sur les propriétés géométriques de la pyramide pour étudier et réfléchir aux structures hiérarchisées de la société, en prenant en compte des données chiffrées vérifiables. Elle vise à représenter et analyser les interdépendances entre les membres de la société et à comprendre comment la population et la richesse collective peuvent influencer cette structure.

Il est intéressant de noter que cette approche se veut descriptive et réaliste, n’étant pas liée à une idéologie politique ou religieuse spécifique. Elle offre un outil logique et expérimental pour remettre en question les structures sociales existantes, tout en reconnaissant les limites de la réalité face à l’utopie.

Enfin, vous soulignez à juste titre que cette étude concerne l’échelle mondiale de la pyramide sociale, qui influence les différentes structures nationales et locales, tandis que l’influence de chaque nation à l’égard du monde est limitée.

C’est un concept intéressant qui peut certainement apporter une nouvelle perspective dans l’analyse des structures sociétales.

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Quand l'IA évolue et se complique

https://www.causeur.fr/google-gemini-intelligence-artificielle-le-racisme-anti-blancs-progressisme-277576

vendredi 21 janvier 2022

Introduction à la Pyramidologie sociale

samedi 26 septembre 2020

À propos d’un "Revenu Universel Citoyen"

 Ci-après, à l’intention des visiteurs qu’intéresse le Revenu Universel, ma réaction à la proposition de Revenu Universel Citoyen, dont chacun pourra prendre connaissance à l’adresse suivante https://www.youtube.com/watch?v=5H8l70G1EgU


Parce qu’il se veut citoyen, un tel revenu déroge aussi gravement que paradoxalement à deux principes généralement considérés comme fondamentaux en matière de lutte contre les inégalités sociales : l’universalité et l’inconditionnalité.

- Loin d’être universel, le RU citoyen frappe en effet d’une double peine ceux qui se situent au niveau zéro de la richesse, (dont les pères du revenu citoyen ne seraient pas les seuls à ignorer l’existence, alors que le nombre de ceux qui y logent est mondialement de l’ordre de 1 à 2 milliards à vivre avec moins de 2 dollars par jour – Montant récemment réajusté à 1,90 dollar).

- Quant au principe d’inconditionnalité, il en est la négation même, faisant de la reconnaissance et de l’adoption d’une vision particulière de la société, la condition de son attribution ; au point qu’il soit permis de se demander si “Allocation sociale pour alignement idéologique” ne serait pas une appellation mieux choisie.

Outre ce qui précède, plusieurs observations en réponse à cette présentation :

— Omission, parmi les contreparties du financement d’un revenu universel, du transfert d'allocations et aides sociales existantes (sauf couverture santé).

— Pourquoi l’impôt finançant le RU découragerait-il davantage le contribuable que l’impôt finançant les mesures d’aide sociale et autres secours qu’il remplace ? D’autant qu’aucun citoyen n’échapperait à l’impôt sur le revenu, y compris les bénéficiaires du RU.

— Le démographie galopante mondiale et ses retombées sociales sur toutes les nations du monde n’est-elle pas la première explication du puits sans fond dont peut se plaindre le contribuable, sachant que pour des raisons structurelles, sur 100 êtres humains qui s’ajoutent quotidiennement à la population, 86 vont grossir les rangs des pauvres quand seulement 14 rejoignent les riches ?

— La relation entre RU et marché du travail est passée sous silence, alors qu’elle est un aspect essentiel de la question. Il faut savoir en effet que la Banque Mondiale et le Bureau International du travail prévoyait en 2018 la création de 50 Millions d’emplois supplémentaires annuellement durant la décennie à venir (hors effets Covid-19), soit environ 500 Millions sur 10 ans, alors que pendant la même période, l’augmentation de la population, donc du nombre de demandeurs d’emplois, sera sensiblement le double. De quoi – ajouté aux progrès de la robotique – susciter bien des questions sur l’avenir du travail et des travailleurs.

Etc.


Le lecteur désireux d’approfondir la présente réaction, pourra utilement se reporter aux articles suivants qu’ils pourrait ne pas avoir encore lus


Pour un revenu universel, minimum et inconditionnel – Le R.U.M.I.

https://docs.google.com/document/d/1zaf8g5oOnn31v-pyjiNjBL5wLcYrT2PbKvZwum3BWqA/edit

Inégalités sociales et revenu universel

https://docs.google.com/document/d/1SYYAww9PAqCA_XeZOkauIIqW74cQoVzFkPzLxoAF3ac/edit

Revenu universel et lutte des classes

https://docs.google.com/document/d/1NN-REq4a7FMIVtfpxjd-K-I903PdZ06COTff0EaAAvo/edit


Introduction à la pyramidologie sociales

https://pyramidologiesociale.blogspot.com/2020/04/introduction-la-pyramidologie-sociale.html

La pyramidologie sociale pour les nuls

https://pyramidologiesociale.blogspot.com/2018/01/pyramidologie-sociale-methodologie.html