La Pyramidologie sociale est l'étude de la répartition des richesses collectives de l'humanité entre les différentes strates de la population, telles qu'elles résultent du caractère incontournablement pyramidal de cette structure.
samedi 23 mars 2013
Schéma - Du mécanisme des inégalités de richesse dans la pyramide sociale
Des visiteurs choissant de répondre aux articles, directement par mail adressé à leur auteur plutôt que par un commentaire laissé sur le blog, je suis amené à leur répondre via celui-ci et c'est le sens de ce qui suit. Concernant la schématisation du mécanisme qui régit le rapport entre richesse et pauvreté, le fait qu'il soit exposé à population et critères de segmentation constants, a motivé la remarque : "sauf, que ce schéma vaut à population constante". Que le correspondant en cause ainsi que ceux qui concluent comme lui, conçoivent qu'une augmentation de la population ne fait qu'accroître la situation des plus pauvres. La démographie joue toujours à leur détriment, par simple effet de proportions. La pyramide sociale gardant peu ou prou sa structure d'ensemble, avec son apex et sa base, cette dernière absorbe toujours et inéluctablement une part plus importante d'un surcroît de population. Quant à un changement de critères, il en est comme des divers indices, qui ne font que présenter les mêmes faits à la manière de leurs inventeurs respectifs. Le déplacement d'un curseur sur la lorgnette de l'observateur, n'a jamais rien changé au phénomène observé.
Des visiteurs choissant de répondre aux articles, directement par mail adressé à leur auteur plutôt que par un commentaire laissé sur le blog, je suis amené à leur répondre via celui-ci et c'est le sens de ce qui suit.
RépondreSupprimerConcernant la schématisation du mécanisme qui régit le rapport entre richesse et pauvreté, le fait qu'il soit exposé à population et critères de segmentation constants, a motivé la remarque : "sauf, que ce schéma vaut à population constante". Que le correspondant en cause ainsi que ceux qui concluent comme lui, conçoivent qu'une augmentation de la population ne fait qu'accroître la situation des plus pauvres. La démographie joue toujours à leur détriment, par simple effet de proportions. La pyramide sociale gardant peu ou prou sa structure d'ensemble, avec son apex et sa base, cette dernière absorbe toujours et inéluctablement une part plus importante d'un surcroît de population.
Quant à un changement de critères, il en est comme des divers indices, qui ne font que présenter les mêmes faits à la manière de leurs inventeurs respectifs. Le déplacement d'un curseur sur la lorgnette de l'observateur, n'a jamais rien changé au phénomène observé.