vendredi 17 novembre 2017

Journée mondiale de la vasectomie

Ou comment engager les hommes dans les efforts de planification familiale.

L’article suivant est la traduction (automatique, donc laissant à désirer) de celui recueilli sur https://www.populationmedia.org/site menant une lutte particulièrement efficace pour la dénatalité dans le monde.


Nous vivons à une époque centrée sur les femmes et les filles - ce qui est approprié compte tenu des lacunes persistantes et débilitantes dans l'accès mondial à l'éducation, aux soins de santé et aux opportunités économiques entre les sexes. Cependant, il existe également un fossé entre les financements complémentaires et la recherche pour engager les hommes, ce qui non seulement rend les objectifs globaux de planification familiale plus difficiles à atteindre, mais exerce un stress et une pression encore plus grands sur les femmes.

Pour l'instant, la majorité des options de planification familiale sont conçues pour les femmes, et les options pour les hommes sont limitées aux préservatifs, à la vasectomie et à la méthode de retrait de la contraception. Bien que ces options n'aient pas évolué depuis plus de cent ans, cela pourrait bientôt changer et les définitions culturelles de la masculinité évoluent. La journée mondiale de la vasectomie est la preuve que lorsque des informations complètes sont fournies à travers des histoires fascinantes, les hommes participent, en fait, à la planification familiale, y compris en optant pour une vasectomie.

En réponse, DKT International et DKT Mexique, ainsi que le Centre national pour l'équité entre les sexes et la santé génésique et le ministère de la Santé de Mexico se sont associés à la Journée mondiale de la vasectomie pour célébrer le cinquième anniversaire de l'événement. Dirigée par plus de 1200 vasectomistes dans plus de 50 pays, World Vasectomy Day est le plus grand événement de planification familiale axé sur les hommes, utilisant des médias créatifs pour dissiper les mythes de la vasectomie, sensibiliser et promouvoir une masculinité positive plus large. Le gouvernement a adopté cet anniversaire en même temps que le 40e anniversaire du programme de planification familiale du Mexique.

Une hypothèse commune est qu'investir des ressources de planification familiale limitées dans les options masculines offre un faible retour sur investissement. En réalité, non seulement c'est bon pour la planification familiale, mais c'est nécessaire pour une société en bonne santé. La recherche a montré que lorsqu'ils sont impliqués dans les programmes de planification familiale et de santé sexuelle, les hommes sont plus susceptibles de participer au travail ménager et aux soins aux enfants, les ressources financières sont plus facilement allouées aux contraceptifs féminins et la violence domestique diminue. Essentiellement, la recherche a montré que l'intégration des hommes dans la conversation sur la planification familiale augmente réellement l'utilisation globale de la contraception tout en faisant des progrès plus importants et plus importants vers l'égalité des sexes.

Impliquer les hommes dans la conversation plus large est la clé de la planification familiale durable. Voici trois conseils pour le faire.

1. Pensez à une grande image et commencez avec l'objectif
Journée mondiale de la vasectomie a appris que plutôt que d'ouvrir des conversations en demandant aux hommes s'ils veulent obtenir une vasectomie, tirer pour la grande image: Quelle est l'importance que la qualité de vie de vos enfants soit meilleure que la vôtre? À partir de là, les conversations couvrent naturellement l'impact de la taille des familles nombreuses sur la capacité à fournir, et leur désir de faire partie du processus de prise de décision. Lorsque les vasectomies sont perçues comme un outil permettant d'atteindre les tailles de famille souhaitées et de prendre soin des enfants qu'elles ont déjà, les hommes sont extrêmement réceptifs.

2. Soyez provocateur et amusez-vous
DKT a constaté que l'utilisation de techniques de marketing social dynamiques, ouvertes et amusantes augmente considérablement l'adoption de la marque de préservatifs à but non lucratif, Prudence, au Mexique et dans d'autres pays d'Amérique latine. Souligner que de bons rapports sexuels et être des amants responsables ne s'excluent pas mutuellement pourrait être considéré comme scandaleux par certains - mais cela fonctionne. Prudence est la marque de préservatifs la plus achetée au Mexique et au Brésil. Ils ont érotisé leurs messages sur les préservatifs, célébré la sexualité, et utilisé une langue vernaculaire humoristique sans aucun jargon médical. DKT fait preuve de créativité en allant au-delà des ventes de préservatifs en offrant des ressources aux hommes pour des questions sur la santé sexuelle à travers des événements majeurs comme des concerts, des activités scolaires et des foires de santé, via les réseaux sociaux, le centre d'appels Red-DKT un service.

3. Soyez ouvert et connecté, et créez une communauté
Demander aux hommes d'obtenir une vasectomie dans le cadre d'un rituel public célébré à l'échelle mondiale augmente l'acceptation. Ce que l'on hésiterait à faire, un millier de forts ne vacilleront pas. Cette stratégie transforme la crainte commune qu'une vasectomie mène à une perte de virilité dans un sens accru de but héroïque, tout en démystifiant la procédure elle-même. En tant qu'événement axé sur les communications, la Journée mondiale de la vasectomie utilise des vidéos et des produits médiatiques pour dissiper les mythes tout en cultivant la communauté à travers des histoires partagées de vrais patients avant, pendant et après leur vasectomie. Depuis l'adoption du programme de la Journée mondiale de la vasectomie, le Mexique a connu une augmentation de 18,1% de l'acceptation de la vasectomie.


"J'ai six enfants, il était temps pour moi de faire cela", a déclaré Agustín Villa Martinez, un agent de sécurité, juste après sa procédure à Guadalajara, au Mexique. "J'y pensais depuis un moment, mais je ne pouvais pas me résoudre à le faire, car je pensais que ça ferait mal.

lundi 13 novembre 2017

COP 23 : sera-t-il question de population humaine ?

À en croire les nombreux propos suscités ici et là par la prochaine COP 23, il est fort à craindre qu’ainsi qu’il en a été lors de ses précédentes éditions, la dimension démographique des questions posées par l’avenir de notre planète continue d’être ignorée. Comme si les atteintes à notre environnement, dont le réchauffement climatique est une manifestation majeure, étaient sans rapport avec ceux qui en sont, au moins partiellement, responsables, n’en déplaise aux climato-sceptiques, étrangement silencieux depuis peu.

Gaz à effet de serre, fonte des glaciers et de la banquise, submersion d’immenses territoires habités et habitables, énergie, pollution de l’air, pollution des eaux, atteinte grave à la biodiversité, développement durable, tout y passe, sauf l’évocation de la croissance ininterrompue de la population, cause première de tous ces maux. Or comment réduire l’émission des gaz à effet de serre si dans le même temps augmente le nombre des consommateurs dont les besoins – vitaux comme accessoires – requièrent les activités industrielles provoquant cette émission ? Les experts foisonnent à être d’accord pour reconnaître qu’il y a loin de leurs recommandations aux comportements auxquels elles devraient conduire, mais ce n’est pas pour autant qu’ils s’inquiètent du fossé qui sépare ces mêmes recommandations et comportements, de la réalité d’une croissance démographique nécessitant une régulation urgente. Pourtant, cette régulation s’impose depuis trop longtemps, comme s’est imposée celle de bien des espèces dont la disparition a été évitée, ou pour le moins retardée, par l’intervention des représentants de l’espèce humaine à son tour menacée. C’est la question fondamentale et toute autre est secondaire, quelle qu’en soit l’importance. Nous n’avons plus le temps de tergiverser en nous contentant de traiter ce qui n’est que la conséquence d’un manque de maîtrise de la population du premier des prédateurs de la planète.

Pas d’avenir pour la Terre et toutes les espèces qui la peuplent, sans lerééquilibrage d’unepopulationqui a atteint et dépassé depuis longtemps un nombrecompatible avec les ressources de son habitat et les limites de sa gouvernance.L’extension de la pauvreté, indissociable de celle du nombre ; la multiplication des désordres et des violencespartout dans le monde, pour des raisonsqui n’ont jamais été aussi variées,et leslamentablesflux migratoires qui en résultent en sont lesmanifestations. Or, pendant que 100 millions d'êtres humains supplémentaires déferlent sur Terre chaque année, les experts continuent pour la plupart de proposer des théories et des mesures d’un conformisme affligeant, en respectant letabou touchant aux questions de population et a fortiori de surpopulation.

Au point qu’il soit permis de s’interroger sur les raisons qui peuvent conduire la grande majorité des responsables, de tous ordres et de tous rangs, à prétendre traiter de sciences humaines et de la Terre en omettant – voire en refusant – de considérer le problème factuel de population humaine comme le préalable incontournable à toute spéculation d’ordre sociologique, économique et écologique, ainsi que sa solution comme hautement prioritaire.


Si rien n’est fait d’urgence dans le respect de l’éthique et des valeurs humaines – par la dénatalité notamment –, la nature s’en chargera à sa manière et notre descendance aura une raison de plus de maudire ses ancêtres.

lundi 9 octobre 2017

Du ruissellement des richesses de la société

Quoi qu’en pensent ceux qui refusent la métaphore du ruissellement, elle est d’autant plus opportunément utilisée pour illustrer les avatars de la distribution des richesses de la société, qu’elle est associée à la représentation pyramidale de celle-ci. C'est en effet une manière de prendre en considération divers paramètres précisément mis en évidence par cette représentation, parmi lesquels ceux qui suivent :
- La base de la pyramide sociale – là où se situe le niveau zéro de la richesse – est inamovible, alors que son sommet n’a pas d’autres limites que celles des ressources de la nature et l'appétit du premier de ses prédateurs.
- Le volume de la pyramide sociale étant conventionnellement représentatif de l'importance de la population qui l’habite, ses variations expriment la diminution ou l’augmentation de cette dernière.
- Dans une société répartie en 3 catégories sociales (pauvres, classes moyennes, riches) la population de chacune de ces 3 catégories se partage un tiers de cette richesse. (Cf. Pyramidologie sociale – Méthodologie).
- À développement économique et enrichissement collectif constants, la hauteur de la pyramide sociale, qui exprime l'écart de richesse entre les plus pauvres et le(s) plus riche(s), croît proportionnellement à son développement en volume (augmentation de la population globale).
C'est dans ces conditions qu'a lieu le processus de ruissellement décrit ci-après.

D'abord remontée vers les niveaux supérieurs de la pyramide sociale, comme par convection, la richesse de la société y est dépensée à des fins diverses dont le réinvestissement, ou épargnée en attendant de l’être. Par la rétribution de l'investissement et de cette épargne, telle que requise pour assurer leur renouvellement constant ; sous forme de rémunération des populations contribuant par leurs activités solvables et non solvables à l’enrichissement commun ; par l'assistance apportée aux populations inactives, etc., la richesse ruisselle alors vers la base de la pyramide sociale, à la manière d'un flux entraîné, comme par gravité, par la consommation de tous pour remonter ensuite vers son sommet, en vertu de l'effet de convection déjà évoqué. Ceci dans un mouvement perpétuel semblable – pour demeurer dans la métaphore – à celui de la pluie qui, tombée de sa source qu’est l’accumulation nuageuse, ruisselle, s’infiltre, irrigue une masse fertile pour s’évaporer à nouveau selon un cycle où rien ne se perd ni se crée. Sauf qu’en ce qui concerne les richesses de l’humanité, leur partie non consommée s’accumule à chaque cycle, à l'exception de ce qui en est périssable ou peut être frappé d'obsolescence et qui est alors passé par pertes et profits.

Au cours de sa descente, le flux de richesse se disperse dans un réseau capillaire parcourant la pyramide sociale en tous sens et s'y diffuse, hormis la part qui en est distraite par "pertes de charges", "évaporation", "transpiration”, ... naturellement récupérée par le flux ascendant. Mais le flux descendant subit un double effet de dispersion croissante ; d’une part du fait que les habitants de la pyramide sociale sont de plus en plus éloignés de sa source, et d’autre part en raison de l’augmentation de leur nombre, croissant avec cet éloignement. C’est ainsi que le flux qui se réduit progressivement, finit par se tarir avant d'atteindre la base de la pyramide sociale, lieu du dénuement total.

Alors qu'inertie et capillarité devraient en assurer l'irrigation totale, la captation du flux par consommation, détournement, gaspillage, rétention, au cours de sa descente – et pas seulement aux niveaux les plus hauts.– conduit à son assèchement avant qu'il atteigne les niveaux les plus bas. Et plus la pyramide est peuplée, quel que soient l'accroissement de la richesse collective qui puisse résulter de la production de cette population, et sa redistribution, plus son sommet s'éloigne d’une base que le flux a de plus en plus de mal à atteindre.

Le recours à la métaphore met donc en évidence ce que la plupart des théories économiques ignorent ou masquent : 1° le fait que les inégalités sociales (ici considérées en termes de richesse matérielle) s'accroissent systématiquement avec le temps. 2° que les causes de cette augmentation résultent conjointement de l’accroissement de la population humaine et des richesses qu’elle crée par ses activités.

Il est dès lors clair qu’une meilleure répartition de ces richesses passe moins par une archaïque lutte des classes et ses errements que par une maîtrise de la démographie humaine et de sa production de richesses ; ce qui exclue nullement une lutte contre toutes formes de déperdition au cours de leur ruissellement.

Partage "naturel" de la richesse de la société entre catégories sociales



jeudi 28 septembre 2017

La Vérité sur les inégalités sociales. ou Ce que nous cache la pensée dominante

Depuis que l’homme existe, et avec lui la pyramide sociale, partout dans le monde et sous tous les régimes, les inégalités du même nom n’ont jamais cessé d’augmenter, du seul fait que l’imaginaire et l’industrie d’un effectif de travailleurs (et de consommateurs) toujours plus nombreux, profitant des progrès des sciences et des techniques, enrichissent toujours plus la société.

Si les inégalités sociales se creusent, c’est essentiellement dû au fait que les êtres humains sont, avant toute croyance et autres considérations, des consommateurs. Leur demande, et partant l'offre et la richesse qu’elle génère, ne cessent de croître. Ceci en regard du fait que le niveau zéro de cette richesse, inamovible, s'oppose à son maximum, qui n’a pas d’autres limites que les ressources non renouvelables de la planète et l’appétit de ceux qui les exploitent collectivement ; quelles que soient les conditions de leur partage, au-delà de la satisfaction des besoins de chacun, au demeurant fort variables dès lors qu’ils ne sont pas vitaux.

Plus la pyramide sociale croît, et elle croît incessamment depuis qu’elle existe, du seul fait de la démographie humaine, plus grandit l’écart entre son sommet et sa base et se creusent les inégalités de richesse entre ses habitants. Nulle pauvreté humaine ne peut être inférieure à celle que marque la base de la pyramide sociale, là où règne le dénuement de la pauvreté profonde. Par contre, rien n’entrave la croissance de la richesse de l'humanité, représentée autant par la quantité que par la variété de produits et services dont elle est faite, ou en d’autres termes, des biens matériels et immatériels que le génie humain soit capable d’inventer.

En constater les variations pour susciter les revendications des plus démunis n’y change rien. Ceci est parfaitement vain, dès lors que l’enseignement majeur n’en est pas tiré ou pire encore, admis. Or cet enseignement n’est-il pas que la surpopulation humaine est la première cause de tous les maux de notre société, à commencer par les écarts de condition sociale qui y règnent ?

La représentation ci-après donne une idée de ce mécanisme, la pyramide sociale structurée en pauvres, classes moyennes et riches, dans la relativité incontournable de leur positionnement par rapport à l’échelle de leur richesse commune et selon des pourcentages qu’un calcul des plus simples permet de déterminer.
Évolution des écarts de richesse entre catégories sociales selon la démographie

L’application de ces pourcentages aux populations mondiales des époques concernées – début de notre ère et an 2 000 –, permet de visualiser non seulement ce qu’a été globalement l’évolution dans le temps de l’écart de richesse entre les plus pauvres et les plus riches, mais conduit au constat (cf. schémas ci-après) que notre civilisation, par la démesure de sa croissance démographique et de son appétit, a créé en 2 000 ans un nombre de pauvres égal à 20 fois ce qu’était sa population totale, toutes conditions confondues, au début de notre ère, sans compter les dommages infligés à la planète.

Partition de la société en nombre, par catégories sociales, en l'an 0 de notre ère

Partition de la société en nombre, par catégories sociales, en l'an 2000

Voici ce que semblent ignorer, ou nous cachent de brillants économistes, préférant s’en remettre à une lutte des classes ayant partout fait la preuve de son impuissance ; le progrès social qu’ils lui attribuent étant en réalité le fruit de progrès scientifiques et techniques qu’elle a toujours freinés plutôt que favorisés.

Et le tableau ci-après fournit quelques indications quant à ce que pourraient devenir les inégalités sociales dans moins d'un siècle.

Évolution de la population par catégories sociales, selon partition post-moderne de la société

dimanche 24 septembre 2017

À propos d'inégalités sociales

Bravo à l’Observatoire des inégalités pour le lifting de son site, bien que hélas, dans le respect de la pensée unique et de la lutte des classes, rien n’ait changé concernant l’impossibilité d’opposer un quelconque argument à des affirmations que de savants indices et calculs, illustrés par de non moins savants graphiques, dogmatisent. Toujours pas le moindre espace d’expression, comme il est possible d’en trouver là où règne cette autre forme d’égalité qu’est la liberté d’opinion (sans ignorer que la modération puisse toujours exercer son pouvoir). Le visiteur à qui il arrive aussi de s’interroger sur ces questions, aimerait pourtant pouvoir parfois contribuer à une réflexion se voulant au service d’une meilleure égalité sociale.

Ainsi des articles n’en finissant pas de fustiger des écarts de richesses, en clouant sommairement au pilori les plus riches, comme s’il s’agissait d’une espèce nouvellement née, dont l’élimination devait mettre fin aux inégalités de richesse.

Depuis que l’homme existe – et avec lui la pyramide sociale –, partout dans le monde et sous tous les régimes, les inégalités du même nom n’ont jamais cessé d’augmenter, du seul fait que l’imagination et l’industrie d’un effectif de travailleurs (et de consommateurs) toujours plus nombreux, profitant des progrès des sciences et des techniques, enrichissent toujours plus la société.

Si les inégalités sociales se creusent, c’est avant toute autre considération dû au fait que le niveau zéro de la pauvreté est inamovible contrairement à celui de la richesse, qui n’a pas d’autres limites que les ressources non renouvelables de la planète et l’appétit de ceux qui les exploitent collectivement, quelles que soient les conditions du partage des profits qui en résultent, au-delà de la satisfaction – au demeurant très variable – des besoins fondamentaux des uns et des autres.

Plus la pyramide sociale croît – et elle croît incessamment depuis qu’elle existe, du seul fait de la démographie humaine – plus grandit l’écart entre son sommet et sa base et se creusent les inégalités de richesse entre ses habitants. En constater les variations et les mesurer en déciles n’y change rien. Cela revient à un exercice intellectuel inutile, dès lors que l’enseignement majeur n’en est pas tiré ou pire encore, admis.


Et cet enseignement n’est-il pas que la surpopulation humaine est la première cause de tous les maux de notre société, à commencer par des écarts de condition sociale qui viennent aggraver des inégalités devant tout aux hasards de notre naissance ? Ce qui n’exclue pas de tenter d’y remédier, dans toute la mesure du possible, par un humanisme tolérant etsolidaire. »