— Avec plus de 200 000 être humains supplémentaire chaque jour, les besoins et la pollution vont plus vite que la production. Par conséquent, quand
tout sera bio, plus rien ne le sera.
— Le seul moyen durable de réduire les inégalités sociales est d’agir sur l'indissociable binôme économie-population, par lequel la société s’enrichit toujours plus et les riches en premier lieu. À cette fin, priorité absolue à une ÉCONOMIE DÉNATALISTE
— La pyramide sociale mondiale dicte sa loi. Après qu’elle ait acquis une dimension planétaire résultant d’un progrès scientifique et technique voulu par tous les hommes, sans exception.
— Tous les pouvoirs ont pour premier souci l’augmentation du nombre de fidèles ou d’électeurs sur lesquels ils se fondent, plus soucieux de leur nombre que de leur bien-être – sans omettre la préoccupation majeure des êtres humain qui est de savoir qui financera leur retraite.
— En encourageant une croissance démographique humaine démesurée, alors qu’en raison du caractère incontournablement pyramidal de notre société, les pauvres se multiplient à une cadence qui est 6 fois celle des riches, l'humanité vit ce qui n’est qu’une stupidité collective.
— Aucun pouvoir ne s’exerce sans mensonge – ou pour le moins dissimulation –, tant la vérité peut sembler insupportable quand ceux qui l’ignorent la découvrent. Et c’est la connaissance de cette vérité, et sa manipulation, qui mène au pouvoir.
— Qui
peut prétendre à
“l’équitable”
et
au
“bio” en quoi que ce soit, quand l’air et l’eau purs
manquent,
irréversiblement,
en maints endroits de la planète ? Commençons
par réduire et stabiliser la population du premier des pollueurs, par sa dénatalité.
Tout en dépend.
— La pyramide sociale humaine permet à chacun de ses occupants de se situer par
rapport à ses semblables. Probablement est-ce la raison pour
laquelle ils la négligent.
— Pour ce qui en incombe à
l'humanité, les grands équilibres
sociaux et les atteintes à l'environnement sont essentiellement dus
à la croissance démesurée du binôme économie-démographie, celle-ci déterminant celle-là et non l'inverse.
— Le progrès, notamment en matière d'information et de communication, ayant levé la plupart des barrières entre les nations et les hommes, s’ensuit la réduction à une seule de quelques civilisations, que quelques détails différencient encore, comme leurs religions, leurs langues, leurs mœurs, etc.
— Redoublement de peur du jugement dernier ? Effets de l’écolo-anxiété régnante ?
— C’est à l’heure où, en raison de ses abus, l’humanité est elle-même menacée de disparition, qu’elle prétend se préoccuper du bien-être des autres espèces ; un comble !
— L’élite est d’autant moins pesante et ressentie que la pyramide sociale est raisonnablement peuplée ; c’est-à-dire peuplée au prorata de ses ressources, de son espace vital et des limites de sa gouvernabilité.
— Ne pas naître n’est en aucun cas mourir, et inversement.
— Lapsus, erreur, ou ignorantisme ? Nombreux sont les économistes qui considèrent que la population humaine suit l’économie, alors que c’est le contraire. C’est l’économie qui suit la population, pour satisfaire ses besoins.
— La compassion la mieux intentionnée ajoute au malheur de ceux qu’elle prétend secourir. Lorsqu’elle est dispensée sans un minimum de raison et de précautions, elle conduit à favoriser l’exploitation la plus sordide des plus déshérités, en les entretenant dans leur état par la charité ou une solidarité qui en est l'équivalent laïc.
— Des hommes ont compris très tôt le profit qu’ils pouvaient tirer d’une spiritualité fille de la crédulité. Ils l’ont nourrie d’obscurantisme et en ont codifié l’exercice pour asseoir leur pouvoir. L’humanité est en voie d'y succomber, avant que la science l’ait suffisamment éclairée.
— À considérer ce à quoi nous sommes le plus sensibles, nous finissons par ignorer l’essentiel, au point d’aggraver le sort de ceux que nous voudrions protéger.
— Nous devons à la pensée unique de vivre sous la dictature de nos émotions et de notre sensiblerie.
— Le binôme économie/démographie n'a pas de
religion, mais vouloir “croître et multiplier” pour “conquérir
le monde par le ventre de ses femmes” sous quelque bannière que ce
soit, ne peut qu'amplifier les besoins de l'humanité et par
conséquent la production nécessaire à leur satisfaction, avec les
dégâts environnementaux qui en résultent.
— En ces temps de
grande inquiétude pour l'espèce humaine et la planète qui
l'abrite, méfions-nous davantage encore de la dictature des
sentiments que du techno-optimisme.
— Nul besoin, pour
s'intéresser aux sciences dites humaines, d'avoir fait de longues
études et de maîtriser indices, courbes, graphes et autres formules
alambiquées. Il suffit de s'inquiéter de son propre sort et de
celui de sa descendance pour observer la vie au quotidien.
— Ceux
qui de nos jours s'obstinent à vouloir traiter de sciences
humaines et sociales, et plus particulièrement d'économie
et de démographie,
en ignorant ou en niant autant le
caractère incontournablement
pyramidal de notre société – et par là-même les fondements structurels de la
condition humaine –, que les méfaits
d'une démographie humaine galopante, sont
dans une situation comparables à ceux qui ont refusé un temps d'admettre que la Terre était ronde.
— La variable d’ajustement socio-économique que constituent les classes moyennes, joue à plein son rôle, face au creusement des inégalités sociales entraînée par le développement économique, lui-même dû à l’accroissement de la population mondiale.
— Si toutes conditions confondues l'humanité consomme à mi-année la moitié de ce que la nature lui offre pour une année entière, la réduction de moitié de sa population suffirait à rétablir l'équilibre, et une dénatalité expliquée et consentie y suffirait.
— Confondre dénatalité et génocide, c'est ignorer la différence qu'il y a entre mourir et ne pas naître.
— Sous la dictature de ses sentiments, l'homme ignore la réalité. Il préfère aux faits et aux chiffres incontestables les dogmes des croyances fondées qur le mystère, ainsi que les certitudes de doctrines politiques et sociales qui en tiennent lieu pour les laïcs.
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