vendredi 26 juillet 2019

Raccourcis (Suite N°4)

— Le partage qu’inspire une compassion trop facile, est une utopie criminelle. Il néglige les effets d'une démographie galopante, associée au caractère incontournablement pyramidal de notre société, qui fait croître le nombre de pauvres à une cadence qui peut atteindre 6 à 20 fois celle des riches, selon les critères de partition de la société. 
https://claudec-abominablepyramidesociale.blogspot.com/2017/12/de-linexorable-montee-des-inegalites.html
— Selon le Bureau International du Travail et la Banque Mondiale, 500 Millions d’emplois seront créés pendant les 10 prochaines années, quand la population humaine croîtra de près du double pendant la même période.
— La mondialisation est l’aboutissement d’un progrès scientifique et technique souhaité par l’immense majorité des êtres humains, démontrant ainsi leur besoin de toujours améliorer leur condition ainsi que leur capacité d’y parvenir, ce qui les différencie des autres espèces avec lesquelles ils partagent la planète.
— Dans leur relativité, richesse et pauvreté se définissent et existent l’une par l’autre, et se répartissent de manière incontournablement pyramidale. Chacun est le riche ou le pauvre de plus pauvre ou de plus riche que soi.
— Les inégalités sociales résultent structurellement du niveau de richesse collective rapporté à la démographie et au positionnement de chacun dans la pyramide sociale.
— Sous tous les régimes politiques, les inégalités sociales croissent ou décroissent avec la population et/ou sa richesse. Du fait de l’enrichissement constant de la société depuis qu’elle existe, les inégalités sociales croissent aussi incessamment qu'inéluctablement.
— Les inégalités sociales découlent avant tout d’une structure sociale incontournablement pyramidale, où chacun loge selon les hasards de sa naissance, quels que soient les aléas – favorables ou défavorables – de son existence par la suite.
— Le meilleur moyen d’aider les pauvres est d’inciter les riches à investir, non à les en décourager. Le contraire consiste à commencer par rogner leurs moyens, avant de taxer les profits qu’ils pourraient tirer des investissements dont ils prendraient le risque. Moins les riches sont riches plus les pauvres sont pauvres.
— Comparer la richesse d'une partie de la population à la pauvreté d'une autre relève d'une vision aussi sectaire que subjective de la pyramide sociale, inspirée d’une archaïque lutte des classes.
— Les inégalités sociales croissent avec la population et son enrichissement collectif. La pyramide sociale s’élève sans cesse, ce qui creuse toujours plus l’écart entre riches et pauvres. Et le nombre de ces derniers augmente à une cadence qui est inéluctablement plus élevée que celle des riches.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Merci de votre contribution