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dimanche 20 février 2022

De quoi périra l'humanité ?

Révisé le 05/092023

Ce n'est probablement ni l'insuffisance d'espace vital, ni un virus, ni le feu nucléaire... qui viendront à bout de l'humanité, après qu'elle ait saccagé la planète, mais l'ingouvernabilité d'une population mondiale ayant proliféré jusqu'à la démesure.

Il faut savoir que si l'homme accuse aussi facilement ceux qu’il se donne pour dirigeants de manquer de courage pour affronter les vicissitudes de l’existence, il y a été incité de tous temps par des pouvoirs politiques et religieux plus soucieux du nombre que du bien-être – ici et maintenant – de ceux sur lesquels ils se sont fondés et prospèrent depuis. C’est ainsi qu’il a toujours négligé, ignoré, voire nié sa condition plutôt que de l’affronter. Or, ce faisant, il se comporte depuis qu’il existe comme la mouche se heurtant aussi obstinément que vainement à la vitre ou aux parois de verre du bocal dont elle est prisonnière et qu’elle ne voit pas ; ou que l’autruche enfouissant sa tête dans le sable pour se dissimuler le danger, plutôt que de l’affronter… ou le fuir.

Est-ce la compassion de ceux qui ont connaissance de ces vérités, qui les conduit à les cacher à moins instruits qu'eux ? Serait-ce par respect de l’adage selon lequel les vérités ne sont pas toutes bonnes à dire ? La mansuétude des maîtres de ce monde y verrait-elle un moyen de limiter l’angoisse existentielle des peuples ? ... Telles sont les questions qui peuvent se poser, sachant que la prise de conscience par chacun de sa propre condition peut effectivement aggraver ses peurs et ses frustrations. N’est-ce pas pourtant le prix à payer pour avoir la moindre chance de vaincre un ennemi, que se donner la peine de savoir qui il est, avant de prétendre l'affronter ?

« Si les hommes ont des obligations à l’égard des êtres qui ne sont pas encore ; elles ne consistent pas à leur donner l’existence, mais le bonheur ; elles ont pour objet le bien-être général de l’espèce humaine ou de la société dans laquelle ils vivent, de la famille à laquelle ils sont attachés, et non la puérile idée de charger la terre d’êtres inutiles et malheureux » Condorcet.

Or, ici et maintenant, parce qu’il doit impérativement ne serait-ce que se nourrir, se vêtir, se loger et se soigner, « l’homme est, avant toute autre opinion ou considération, un consommateur » Gaston Bouthoul. Il l’est depuis sa conception jusqu’après sa mort, comme en attesteraient les marchés du prénatal et du funéraire, s’il en était besoin, et il se double d’un producteur dès qu’il est en âge de travailler. Il est ainsi un agent économique au service de la société et aux dépens de son environnement. Et plus le nombre de ces agents augmente, plus leurs besoins s’accroissent – outre ceux qu’ils s’inventent toujours plus nombreux –, plus ils produisent, consomment, échangent et s’enrichissent, avec l’aide du progrès scientifique et technique, quelles que soient les conditions du partage de leurs richesses. Qu’il s’agisse de ressources non renouvelables ou de pollution, les atteintes à l’environnement augmentent d’autant et s’ajoutent à celles d’une nature jamais avare de catastrophes inopinées ou cycliques.



Tous les malheurs du monde, que l’homme a la capacité de maîtriser, en découlent et sont aggravés par le caractère incontournablement pyramidal de la société, dû au fait que richesse et pauvreté existent l’une par l’autre, dans leur relativité, et qu’un destin aveugle assigne à chacun, à sa naissance, sa place au sein de cette pyramide sociale, quels que soient les aléas heureux ou malheureux de son existence par la suite et jusqu’à sa mort. En raison de ce caractère pyramidal de notre structure sociale, les pauvres s’y multiplient à une cadence étant plusieurs fois celle des riches. Outre l'irrémédiable niveau zéro de la richesse, coïncidant avec la base de cette pyramide sociale – là où survit la honte de l'humanité qu'est la multitude des pauvres profonds –, c’est dans ces conditions, que sous la pression de plus de 200 000 êtres humains qui viennent moyennement s’ajouter chaque jour depuis des décennies à la population mondiale, que la pyramide sociale s’atrophie toujours plus et que son sommet s’éloignant incessamment de sa base, les écarts de richesse entre ses occupants se creusent inéluctablement d’autant.

https://pyramidologiesociale.blogspot.com/2020/10/le-syndrome-de-lautruche.html

https://pyramidologiesociale.blogspot.com/2018/01/cause-premiere-et-evolution-de-la.html

https://pyramidologiesociale.blogspot.com/2022/01/eradiquer-la-pauvrete-profonde.html

http://economiedurable.over-blog.com/2022/01/surpopulation-toujours-d-actualite.html


mardi 11 janvier 2022

De la pyramide sociale au jeu de Monopoly

Article révisé le 08/03/2024


https://www.franceinter.fr/societe/discriminations-un-monopoly-des-inegalites-pour-prendre-conscience-des-injustices

-:-:-:-:-:-:-

Réduire la condition humaine et sociale à un jeu – fût-il de société – relève de l’irresponsabilité la plus affligeante et ne peut que conduire les joueurs à la frustration, à l’envie et à la jalousie, faute de reconnaître pour de ce qu’elle est la structure pyramidale de l’humanité, incontournablement fondée sur les hasards de la naissance et de l’héritage génétique, social et culturel de chacun de ses membres.











C’est ignorer obstinément l’existence du niveau zéro de la richesse auquel – et à première proximité duquel – vivent des centaines de millions d’êtres humains, et les enfoncer dans leur misère, en la leur faisant apparaître comme irrémédiable.

C’est prôner le renversement de la pyramide sociale, dans l’ignorance de l’indissociable binôme économie population – celle-ci conditionnant celle-là et non l’inverse – selon lequel les inégalités sociales se sont toujours creusées proportionnellement à son développement.


C’est préparer et encourager l’être humain, dès son plus jeune âge, à une archaïque lutte des classes ayant partout fait la preuve de son impuissance, à en juger par la rémanence des revendications sociales et le développement incessant de la pauvreté dans le monde depuis que l’homme existe. Il faut savoir en effet que le passage de la population humaine de 250 Millions à 8 Milliards d’individus aboutira en bientôt 21 siècles, à un nombre de pauvres représentant plus de 28 fois* la population humaine au début de notre ère – toutes conditions confondues, et quel que soit le nombre d’humains échappant à la pauvreté. * 86 % de 8 Milliards : 250 Millions


Q.1a : La comparaison entre catégories sociales à des siècles et a fortiori à des millénaires de distance n’est-elle pas aberrante, le progrès technique et scientifique ayant considérablement changé les conditions d’existence des pauvres comme des riches ? Q.1b : Même question pour une comparaison entre pays, régions et autres collectivités, alors qu’ils peuvent présenter des différences considérables, tant en termes de population que de richesse ?

R.1a&b : Si le progrès scientifique et technique a considérablement amélioré les conditions de vie matérielle de l'humanité, richesse et pauvreté existent depuis toujours et continueront d’exister l'une par l'autre, dans une relativité intemporelle, déterminant une pyramide sociale dont le volume peut représenter par convention le peuplement. Sans riches point de pauvres et réciproquement. En conséquence, ce qui compte pour chacun, est son ressenti en tant qu'occupant d’une position dans cette pyramide sociale (à l’échelle de l'humanité ou de chacune des collectivités dont elle est faite), position devant tout aux hasards de sa naissance et à l’héritage génétique, social et culturel en découlant ; quels que soient les aléas de son existence par la suite et la compassion – spontanée ou contrainte – de ses semblables. Or, l'écart existant entre la base et le sommet de cette pyramide ne cesse pas d’augmenter, avec la population et une économie déterminée par ses besoins, vitaux et accessoires ; les inégalités sociales exprimées par cet écart ne cessant de se creuser d’autant. Et ces inégalités sont d’autant plus ressenties que si la richesse n'a pas d'autres limites que les ressources dont la tirent ceux qui la convoitent, la pauvreté à la sienne, qui est le niveau zéro de la richesse collective, coïncidant avec sa base, là où est condamnée – structurellement – à survivre la multitude des plus déshérités.

https://pyramidologiesociale.blogspot.com/2018/06/ineluctables-inegalites-sociales.html

https://pyramidologiesociale.blogspot.com/2020/10/le-syndrome-de-lautruche.html

https://pyramidologiesociale.blogspot.com/2020/01/du-binome-economie-population.html


lundi 6 décembre 2021

De la pensée dominante au revenu universel

 Caractérisée par un conformisme souvent confondu avec l’ordre, et une compassion dévoyée, plus ou moins consciemment héritée d’un marxisme aussi sommaire que persistant, en dépit de ses hécatombes supérieures à celle de 2 guerres mondiales, tout n’est pas perdu pour ceux qui s’abandonnent à la pensée dominante – en voie de devenir unique ; pour autant que leurs convictions ne soient pas encore devenues ces certitudes les privant de la liberté d’admettre des évidences, factuelles et chiffrables, offertes au premier venu, parmi lesquelles :

— Le caractère incontournablement pyramidal de toute société fondée sur l’interdépendance hiérarchisée de ses membres, dans une altérité – chaque jour plus compliquée par le nombre – résultant de l’héritage génétique, social et culturel de chacun, selon les hasards de sa naissance ; quels que soient les aléas de son existence par la suite et l’assistance que puisse fournir la collectivité aux plus déshérités.

— Le fait que richesse et pauvreté existent l’une par l’autre – dans leur relativité. Sans pauvres point de riches et inversement. Dans une structure sociale que ne peuvent modifier durablement les utopies les plus obstinées, chacun est le pauvre ou le riche de plus pauvre ou de plus riche que lui.

— Le fait que si la richesse matérielle – individuelle comme collective – de l’humanité n’a pas d’autres limites que les ressources de la Terre (et peut-être d’autres planètes dans le futur), ainsi que l’appétit, l’ambition, la cupidité… de ceux qui la convoitent, la pauvreté a la sienne, qui est le niveau zéro de la richesse (grand oublié des discours les mieux intentionnés).

— L’impuissance des luttes sociales les plus acharnées à changer la condition humaine, comme en atteste la rémanence des revendications des plus frustrés, envieux et jaloux, depuis que le monde existe ; l’indéniable amélioration des conditions d’existence de l’espèce étant le résultat du progrès scientifique et technique et non celui de combats sociaux profitant d’abord aux pouvoirs qui les suscitent et les entretiennent, au péril de ceux qui les livrent.

— La croissance de l’indissociable binôme économie/population – dont l’histoire se confond avec celle de l’humanité – et le creusement permanent qui s’ensuit, des inégalités sociales. Voir ci-dessus schéma apparemment ignoré de la plupart des économistes et autres experts en sciences humaines.

— La pire honte de l’humanité qu’est la pauvreté extrême, qu’il serait pourtant possible d’éradiquer en isolant la base de la pyramide sociale du niveau zéro de la richesse lui étant associé par instauration d’un revenu universel minimum et inconditionnel (RUMI), plutôt qu’en s’obstinant à distribuer des aides aussi vaines que d’un coût cumulé faramineux, dissuadant une richesse qui en est le seul remède ; sans compter les effets de nouvelles technologies automatisant en premier lieu les tâches dont (sur)vivent encore les plus pauvres.

— Une humanité ayant jusqu’ici prospéré dans le déni de ce qui précède en y perdant son humanisme ; moins sensible à la raison qu’aux passions que lui dictent son angoisse existentielle, ses innombrables peurs et son obscurantisme rémanent.



Pour plus de précisions :

https://pyramidologiesociale.blogspot.com/2021/10/condition-humaine-et-condition-sociale.html

https://pyramidologiesociale.blogspot.com/2019/07/pour-un-revenu-universel-minimum-et.html

https://pyramidologiesociale.blogspot.com/2021/05/lettre-ouverte-aux-partisans-de.html


samedi 11 avril 2020

Covid-19 : complotisme, science fiction ou humour noir ?

1. Simple partage d'observations :

Complotisme et Covid-19


Réaction d'un de ses lecteurs, publiée fin mars par “Le Parisien” :« Le virus du complotisme se répand sans frontières et, pour l’heure, sans vaccin. Le 11 mars, c’est l’ancienne ministre Christine Boutin qui semblait atteinte, en s’interrogeant sur Twitter : “Je suis stupéfaite par cette épidémie de #COVID19 et ne peux m’empêcher de m’interroger sur son origine […]. Désagréable impression que l’on cache quelque chose. Peut-on nous dire la vérité ?". Mais quelles “vérités” sur le coronavirus pensent avoir découvert les conspirationnistes ? ».

Ne peut-on s'interroger sans être pour autant conspirationniste ? Qu’il soit au contraire permis au vulgum pecus, dans le désœuvrement de son confinement, de donner libre cours à son romantisme, sous cette forme aujourd’hui dépassée par la réalité qu’est la science-fiction. Il lui suffira pour cela d’observer quelques coïncidences qui devraient en troubler plus d’un, sans étonner outre mesure les experts en armes chimiques et bactériologiques par exemple, au-delà des professionnels de santé et de santé publique “positive” :
— L’épicentre de la pandémie, en ses débuts, s’est trouvé non seulement en Chine, mais qui plus est à Wuhan, ville qui abrite un laboratoire de pointe en matière de recherche bactériologique ; labo auquel la France est au demeurant partie prenante.
— Ce seraient les scientifiques chinois qui, dès 2015, ont commencé, en dehors de toute règle d'éthique, à utiliser le ciseau moléculaire CRISPR pour modifier le génome d’embryons humains.
— 60 % des victimes du Covid-19, seraient âgées de plus de 70 ans et, selon l'Express, 93,7 % des personnes qui en meurent ont au moins 50 ans
— L’Italie découvre, à l'issue d’une minutieuse enquête, que la contagion et le drame humanitaire qu’elle vit auraient des origines antérieures à celui qui sévit à Wuhan. Elle pourrait être due aux étroites relations que nombre de ses propres industries piémontaises entretiennent depuis longtemps avec des entreprises chinoises, ayant donné lieu à d’innombrables échanges et contacts entre ses protagonistes, tant en Chine qu’en Italie, avec transport du virus dans un sens comme dans l'autre.
Sachant que la Chine n’est pas le seul pays qui joue avec des armes particulièrement dangereuses (cf. Corée du Nord notamment, à ses frontières et qui serait curieusement épargnée), et que le jeu de l'apprenti sorcier n’est une exclusivité ni des communistes ni orientale :
— C’est la Chine qui a tenté la politique de l'enfant unique, pour réguler sa démographie. Dès lors, ses dirigeants, après l'échec de ce traitement du problème “par le bas”, n'auraient-ils pu être tentés d’en expérimenter un autre “par le haut”, avec ou sans bavures ? Sans compter :
. Les bénéfices pouvant en être tirés géopolitiquement - cf. ci-après.
. Le service démographique ainsi rendu à l'humanité entière ; nul pays n’ayant le courage de lever le tabou dont est frappé l'épineuse question d'une croissance démographique mondiale incontrôlée.
— La Chine qui présente un bilan de la pandémie étonnamment bas, rapporté à sa population totale et à celle de l'agglomération de Wuhan.
— Non moins étonnant est le fait que d’autres métropoles chinoises relativement proches de Wuhan aient miraculeusement échappées à son sort.
— La Chine est connue pour le peu de cas qu’elle fait du respect des droits de l'homme.
— Le régime communiste, qui est celui de la Chine, est semé d’exemples d’un manque d’éthique caractérisé, depuis les purges staliniennes par la famine ou le goulag jusqu’à celles, plus radicales encore, des Khmers rouges, en passant par le sort récemment réservé à la communauté africaine de Canton.

2. À qui en veut Covid-19 ?



3. Géopolitique et Covid-19

Fiction ou réalité ? Reprise d’un texte (abrégé) émanant d’un auteur, probablement de nationalité américaine et diffusé sur Internet dès fin février début mars 2020, formulant des hypothèses au sujet du Coronavirus, de ses causes, de ses origines, et de ses effets socio-économiques immédiats et à terme.


« SCÈNE I
La Chine tombe malade économiquement. Elle entre dans une “crise” qui paralyse son commerce.
SCÈNE II
La monnaie chinoise est dévaluée.
Le pouvoir chinois ne réagit pas.
Le marasme économique s'installe en Chine.
SCÈNE III
En raison de ce marasme, les sociétés européennes et américaines basées en Chine, voient le prix de leurs actions chuter de 40 %.
SCÈNE IV
Le Coronavirus apparaît, d’abord en Chine, puis se propage dans des pays de monde de plus en plus nombreux. Pandémie.
Crise économique mondiale sans précédents. Les cours de toutes les bourses s’effondrent.
La Chine rafle un maximum d'actions de sociétés en Europe et aux États-Unis, à un prix très bas.
SCÈNE V
La Chine maîtrise la maladie, quand elle a mis la main sur un nombre suffisant de sociétés étrangères en Europe et aux États-Unis. Elle décide que les entreprises étrangères installées en Chine y restent, et gagne ainsi 20 000 milliards de dollars.

Échec et mat !

C’était juste ma spéculation, mais maintenant, je suis convaincu que le coronavirus a été délibérément propagé par les Chinois eux-mêmes.

Au début, ils étaient trop préparés. Trois semaines après le début de la pièce 12 000 lits d’hôpitaux étaient déjà en place. Et ces hôpitaux ont vraiment été construits en deux semaines, [planification et approvisionnements des chantiers compris]. Impressionnant !

Avec une avance remarquable sur tous les autres pays du monde, la Chine annonce qu’elle a arrêté l'épidémie. Les dirigeants chinois apparaissent dans des vidéos célébrant cette victoire, et ils annoncent même avoir un vaccin. Comment auraient-ils pu créer celui-ci si rapidement sans avoir toutes les informations génétiques indispensables ?

Den Xiao Ping a donné à l'ouest une raclée avec le coronavirus, qui a fait spectaculairement chuter les actions des entreprises occidentales, d’abord en Chine. Quand elles ont assez descendu, la Chine les a achetées. Les entreprises, créées par les États-Unis et l'Europe en Chine, avec toute la technologie mise en place par ces échanges et leur capital, sont ainsi passées entre les mains de la Chine qui, avec ce potentiel technologique, pourra librement fixer ses prix et vendre à l’Occident tout ce dont il aura besoin.

Rien de tout cela n’a pu arriver par hasard.

La Chine se soucierait-elle de la mort de ses vieillards ? Elle à moins de pensions de vieillesse à payer, et le butin est énorme.

L'Occident est défait financièrement, en crise, et stupéfait par la maladie ; sans savoir quoi faire.

La chine serait maintenant le plus grand détenteur étranger de trésorerie américaine avec 1,18 billion de dollars de titres ; surpassant le Japon

Prospective & Analogie :

Pourquoi la Russie et la Corée du Nord ont une incidence faible ou nulle de Covid-19 ?
Est-ce parce qu'ils sont de fidèles alliés de la Chine ?
Par contre les États-Unis / Corée du Sud / Royaume-Uni / France / Italie / Espagne, autres pays asiatiques, et bientôt Afrique, sont sévèrement touchés

Comment se fait-il que Wuhan ait été si soudainement libéré du virus mortel ?
La Chine dit que cela est dû aux mesures initiales drastiques que les dirigeants ont dictées et qui ont conduit à ce que Wuhan soit entièrement confinée pour contenir la propagation à d'autres régions.

Pourquoi Pékin n’a pas été touché ? Pourquoi seulement Wuhan ?
Il est intéressant de réfléchir, non ?

Eh bien… Wuhan est maintenant ouvert aux affaires

Covid-19 doit être vu dans le contexte de la partie de bras de fer se jouant entre la Chine et les États-Unis, véritable guerre commerciale

L'Amérique et tous les pays mentionnés ci-dessus sont dévastés financièrement
L'économie américaine va bientôt s'effondrer comme prévu par la Chine.
La Chine sait qu’elle NE PEUT PAS vaincre l'Amérique militairement, car les États-Unis sont actuellement le pays le plus puissant du monde.
[Cf. situation particulièrement dramatique de New York
Alors, utiliser le virus… pour paralyser l'économie et paralyser la nation et ses capacités de défense.
[Suivent des considérations de politiques intérieure américaine, qui n'ont pas été reprises pour écourter la citation]

L'épidémie de Wuhan était une vitrine. Au plus fort de l'épidémie de virus… le président chinois Xi Jinping… portait un simple masque RM1 pour visiter des zones infectées, alors qu’en tant que président il aurait dû être couvert de la tête aux pieds… Il a probablement déjà été vacciné pour résister au virus, ce qui signifie qu'un remède était déjà en place avant sa libération et sa propagation.

La vision de la Chine est de contrôler l'économie mondiale en achetant maintenant des actifs de pays au bord de l'effondrement économique.

Plus tard, la Chine annoncera que ses chercheurs médicaux ont trouvé un remède pour détruire le virus

La Chine possédera les actifs de toutes les alliances occidentales et ces pays seront bientôt esclaves de leur nouveau maître… la CHINE ».


Autre observation troublante – bien que demandant à être approfondie – notée sur le web

C’est bizarre ...!

Wuhan à Shanghai = 629 km
Wuhan à Pékin = 1052 km
Wuhan à Milan = 8700 km
Wuhan à New York = 12000 km
Wuhan à Etli = 8670 km
Wuhan à Londres = 8880 km
Wuhan à Paris = 8900 km
Wuhan vers l'Espagne = 9830 km
Wuhan vers l'Inde = 3575 km
Wuhan vers l'Iran = 6560 km

Quelque chose ne va pas…!

Le virus Corona est originaire de la ville de Wuhan en Chine et il a
maintenant atteint tous les coins du monde, mais ce virus n'a pas
atteint la capitale de la Chine: Pékin et la capitale économique:
Shanghai près de Wuhan, pourquoi ...?

Pékin est la ville où vivent tous les dirigeants chinois, les chefs
militaires vivent ici, ceux qui dirigent le pouvoir chinois vivent ici,
il n'y a pas de verrouillage à Pékin! C'est ouvert! La couronne n'a
aucun effet ici, pourquoi ...?

Shanghai est la ville qui gère l'économie chinoise, c'est la capitale
économique de la Chine, ici tous les riches chinois vivent! Ceux qui
font fonctionner l'industrie, il n'y a pas de verrouillage ici, le
Corona ici n'a aucun effet…! Pourquoi ...?

Le Corona est-il un virus pandémique, à qui l'on a dit de semer la
panique partout dans le monde, mais tu ne viendras pas ni à Pékin ni à
Shanghai. il est très important de poser à la Chine la question pourquoi
les plus grands pays développés du monde ne sont pas arrivés à
stopper le Corona ?! Ce Corona qui a créé la terreur dans les grandes
villes du monde, alors pourquoi ce tueur n'a-t-il pas atteint Pékin…? Et
Shanghai est-elle épargnée...? Pourquoi ...?

Pékin et Shanghai sont les zones adjacentes à Wuhan! Le virus de Wuhan a
atteint tous les coins du monde, mais ce virus n'a pas atteint Pékin ni
Shanghai…! Pourquoi ...?

Aujourd'hui, l'ensemble de l'Inde et 130 crores [*]d'Indiens pourraient
être enfermés! Notre économie est au point mort, mais toutes les grandes
villes de Chine sont ouvertes et maintenant et à partir du 8 avril, la
Chine ouvre également Wuhan! Le monde entier est frappé de terreur!
Maintenant, de nouveaux cas ne viennent pas en Chine et la Chine est
ouverte…! Pourquoi ...?

Une autre grande chose est que le marché boursier dans le monde a chuté
de près de moitié! Nifty est passé de 12 000 à 7 000 en Inde aussi! Mais
en Chine - le marché boursier qui était à 3 000, n'a chuté qu'à 2 700 !?
Pas d'effet de ce virus sur le marché chinois…! Pourquoi ...?

Quelque soient ces constats, ils indiquent seulement une chose que le
Corona est une arme biochimique de la Chine, que la Chine a utilisé pour
détruire le monde !? Après avoir tué quelques personnes, la Chine a
maintenant contrôlé ce virus ! Elle a peut-être aussi des médicaments
qu’elle ne partage pas avec le monde!

*Pourquoi…?



* [Le crore est une unité de numération utilisée en Inde. 1 crore équivaut à 10 millions.]


4. Conclusion

Telle pourrait être l'histoire de la conquête du monde par un pays que les références idéologiques de chacun désignera. La manière est plus que détestable il est vrai, mais qu'aurait-elle de moins humaniste que le recours au nucléaire il y a 75 ans, pour faire taire le fanatisme japonais et cesser la tuerie de millions d'être humains par des moyens plus conventionnels ; ou la mise au point d'armes chimiques et biologiques dont les arsenaux de plusieurs pays sont dotés depuis longtemps en attendant l'occasion de s'en servir (ce qui arrive parfois, comme en 14-18 ou plus récemment pendant la guerre de Syrie par exemple) ; ou encore les manœuvres toujours possibles de l'un pour faire accuser l'autre.

La dépréciation de la vie commence quand les pouvoirs politiques se livrent une compétition économique insensée, soutenue par des dogmes encourageant l'accroissement d'une population mondiale de producteurs-consommateurs qui augmente déjà de 220 000 unités quotidiennement, alors que la transition démographique s'annonce telle qu'après que cette population ait crû d'environ 10 500 individus quotidiennement depuis le début de notre ère, ce chiffre sera, selon hypothèses haute ou basse du Service population de l'ONU, de l'ordre de 125 000 à plus de 300 000 dans moins d'un siècle. La banalisation de la mort ne peut qu'en résulter, et la domination du monde au prix de quelques dizaines de millions de vies humaines, parmi les moins utiles aux compétitions tant économique que religieuse, devient anecdotique. Si Paris a bien valu une messe pour un roi de France, la vie de quelques êtres humains en fin de vie serait peu cher payer la domination du Monde entier, pour qui en aurait l'ambition.
D'autant que ce moyen de dicter sa loi à l'ensemble de l'humanité, tel qu’il paraît somme-toute plausible, réglerait les problèmes posés par sa propre surpopulation – d’ores et déjà atteinte –, ce qui propulserait Machiavel au rang de grand bienfaiteur de l’humanité.

Et la spéculation ne s’arrête pas là ! Quelques mécontents, mis devant le fait accompli, pourraient décider d’y mettre fin, ouvertement et manu militari. À chacun d’imaginer la suite… et la fin. Sans toutefois s'en inquiéter outre mesure, car pour ce qui concerne une Europe qui ne manquera pas d’imitateurs, l'injection de quelques centaines de milliards de fonds publics, lui permettra d'aller, non plus vers de nouvelles “trente glorieuses” mais vers des siècles de développement démo-économique (“démo” pour démographique ou démoniaque, au choix).


. Autres liens en rapport avec le sujet du présent article :




https://bonpourlatete.com/actuel/une-fuite-accidentelle-du-coronavirus-depuis-un-labo-de-wuhan-n-est-pas-a-exclure

https://www.causeur.fr/alain-finkielkraut-coronavirus-savoir-175150

https://fr.irefeurope.org/Publications/Articles/article/Coronavirus-la-lourde-responsabilite-de-l-OMS-infeodee-a-la-Chine?utm_source=2020-04-13B&utm_medium=lettre-fr&utm_campaign=lettre-fr&utm_content=article5651

https://www.courrierinternational.com/article/coronavirus-en-2018-les-etats-unis-sinquietaient-des-risques-poses-par-un-laboratoire-de?utm_source=batch-notif&utm_medium=push-notification&utm_campaign=batch-notif#xtor=CS5-32-[siteweb]-[pushweb]

https://www.courrierinternational.com/depeche/dans-les-agences-onusiennes-le-recul-americain-favorise-linfluence-chinoise.afp.com.20200417.doc.1qn5z7.xml

https://www.rtl.fr/actu/debats-societe/coronavirus-oui-la-parole-d-un-prix-nobel-de-medecine-peut-aussi-etre-manipulee-7800488010  

mardi 31 décembre 2019

À propos de “l'héritage Piketty”


Ainsi Thomas Piketty propose-t-il d’attribuer quelques dizaines de millers d'euros à chacun pour réduire les inégalités sociales, en s'appuyant sur une abondance de chiffres dont certains sont pour le moins contestables, à en croire par exemple l’extrait suivant d'un article publié par Libération :(cf.https://www.lci.fr/international/les-pays-du-g7-sont-ils-vraiment-les-champions-des-inegalites-2129962.html) et plus précisément son dernier paragraphe : « Les inégalités peuvent être mesurées grâce au coefficient de Gini. C'est un indicateur synthétique sur la distribution des revenus qui varie de 0 à 1. Ici, il sera multiplié par 100, afin d’obtenir un pourcentage. Cet indicateur fonctionne de la manière suivante : dans le cas idéal, chaque habitant touche exactement le même revenu, le coefficient de Gini est alors nul. Dans le pire des cas, un seul habitant capte l’intégralité du revenu et le coefficient de Gini est alors égal à 100. Donc, plus le pourcentage est élevé, plus le pays est inégalitaire. ». Sans pondération par la démographie ni l'économie – sans parler de l’aberration consistant à amalgamer revenu et patrimoine, quelle est la valeur des références de notre généreux distributeur des deniers d’autrui, et avec lui de bien d’autres experts en sciences dites humaines qu'il inspire ? Ne négligent-ils pas que dans un transfert aussi sommaire que celui qu’ils préconisent, quel que soit le montant alloué et le nombre de ses bénéficiaires, le sommet de l’échelle des richesses de la société ne cesse pas de coïncider avec celui de la pyramide sociale ? Cette dernière ne pouvant que s'élever d’autant, sans que son niveau zéro change d’un iota. Seul en résulte un creusement des inégalités sociales qui y règnent et ne cessent d’augmenter depuis toujours, avec la population humaine et un développement économique résultant de ses besoins.

C'est pour n’avoir jamais pris en compte le caractère, irrémédiable autant qu’exécrable, du niveau zéro de cette richesse, auquel logent la multitude des plus démunis d’entre nous, par différence avec son sommet, qui n’a pas d’autres limites que celles des ressources dont est tirée cette même richesse et l'ambition de ceux qui la convoitent, que les “pauvres profonds” – vivant avec moins de 2 dollars par jour – se comptent actuellement par milliards.

Autre exemple de l’invalidité des chiffres de référence de nos experts en sciences humaines : le fait que leurs évaluations du nombre de ces pauvres profonds va du simple au triple –, soit plusieurs fois la population de la planète au début de notre ère, toutes conditions sociales confondues ; quel que soit le nombre de ceux qui échappent à la pauvreté profonde : riches, représentants des classes moyennes et pauvres “ordinaires”.

Il n'est probablement pas de pire idée, pour exacerber la frustration du plus grand nombre, que d'accorder à tous un patrimoine censé égaliser leurs chances. N'est-ce pas en effet oublier ces autres moyens que sont – sans oublier la chance – le talent, l'ambition, l'énergie, etc. , distribués aussi inégalement que toute autre richesse et par lesquels seule une minorité s'est toujours montrée capable de faire fructifier son avoir ?