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— L’écologie dépend, avant toute autre considération, de la population humaine mondiale et de sa prédation, telle qu'elle résulte de ses besoins et de ses déchets. Tout rééquilibrage durable du rapport entre cette population et son habitat ne pourra être obtenue que par la dénatalité humaine.
— L’écologie dépend, avant toute autre considération, de la population humaine mondiale et de sa prédation, telle qu'elle résulte de ses besoins et de ses déchets. Tout rééquilibrage durable du rapport entre cette population et son habitat ne pourra être obtenue que par la dénatalité humaine.
— L'empreinte écologique de l'humanité atteignant le double de ce que peut supporter son habitat, la population humaine mondiale devra être réduite d'au moins la moitié et stabilisée à ce niveau, en même temps que ceux qui bénéficient des meilleures conditions d'existence devont réduire leur train de vie.
— Rien de sérieux ni de durable ne se fera sans lutter contre la surpopulation humaine, qui augmente à une cadence supérieure à 250 000 terriens supplémentaires quotidiennement, soit près de 100 millions par an, ou la population de la France et du Benelux réunis.
— Tous
ceux qui de tous temps ont encouragé sans discernement la
prolifération humaine, et continuent de le faire, sont responsables
des
plus grands
maux
dont aient jamais été victimes l’humanité et la planète qui
l’abrite.
— Tout pouvoir s’exerce sur ceux sur lesquels il se fonde et qui le nourrissent, qu'il s'agisse de disciples, de partisans, d'électeurs, etc. C'est ainsi que le nombre de ces derniers est naturellement conduit à passer avant leur bien-être.
— Tout pouvoir s’exerce sur ceux sur lesquels il se fonde et qui le nourrissent, qu'il s'agisse de disciples, de partisans, d'électeurs, etc. C'est ainsi que le nombre de ces derniers est naturellement conduit à passer avant leur bien-être.
— Outre ses besoins en chair à boulot et à canons, notre civilisation et la planète paient la promesse faite par les uns de « faire la conquête du monde par le ventre de leurs femmes », après que d'autres aient – dans la même intention – incité l'homme à « croître et multiplier ».
— La vie humaine est devenu un instrument au service de tous les pouvoirs, lesquels ont pu proclamer cyniquement : “Il n'est de richesse que d'hommes”.
— La vie humaine est devenu un instrument au service de tous les pouvoirs, lesquels ont pu proclamer cyniquement : “Il n'est de richesse que d'hommes”.
— La cause première des maux dont souffrent notre civilisation et la planète est une population humaine surnuméraire au point de devenir ingouvernable et dont la prédation a atteint la démesure. C’est donc là qu’il faut porter d’urgence tous les efforts, en intensifiant la dénatalité partout où elle s’impose. Toute forme d'écologie doit être avant tout DÉNATALISTE.
— Croissance
et progrès sont indissociables et répondent au besoin d’améliorer
sa condition qui distingue l’homme des autres espèces. Par contre,
la
prolifération
des
humains
a ruiné la planète et condamne à disparaître toutes
les espèces qui la peuplent.
— La
population mondiale continuant
d’augmenter de 250 000 individus chaque jour, avec toutes
conséquences sur le futur de la planète et de tous ses habitants,
ceux-ci
partageront plus facilement leurs malheurs à venir que leur
prospérité passée.
— Par
les effets de sa prolifération, l'homme a
le choix entre continuer
de
se multiplier sans
discernement, ou
ajouter
sa propre espèce
à
la longue liste de celles qui sont en
voie d'extinction
à bref terme,
sans parler des conditions de cette extinction.
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